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Le Viol de Aurore et Anne-Sophie (Par Eric Barbe)
Datte: 15/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe Inceste / Tabou Hardcore, Auteur: Commercial51, Source: xHamster
... d’Aurore, et imprima un lent mouvement de va et vient. Je regardai avec horreur Aurore se faire prendre par deux hommes, elle avait les yeux en larmes… Boris revint enfin vers moi et me dit « tu vois Bertrand… mes amis s’occupent bien de ta femme… c’est ta première humiliation … maintenant ça n’est pas fini… ». Il prit sèchement Anne-Sophie toujours menottée, et la fit s’accroupir entre mes jambes. Et Boris continua : « Mon petit Bertrand, si tu veux que mes amis arrêtent, Anne-Sophie, la sœur de ta femme, doit te sucer, et tu dois exploser de plaisir sur son visage. Tant que ça ne sera pas fait, mes hommes s’occuperont de ta femme. Et pour que ça vous donne encore plus envie à tous les deux, mon ami va à présent l’enculer». L’homme qui prenait Aurore en levrette retira donc le plug, ce qui lui fit pousser un petit cri. Puis il s’inséra doucement dans son cul, et elle hurla … il y allait à présent sans aucun ménagement, et Aurore criait et pleurait en même temps, obligée en même temps de sucer l’autre homme que la situation excitait beaucoup. Je regardai Anne-Sophie avec tristesse, en m’excusant. Elle répondit qu’il n’y avait pas le ...
... choix, et qu’elle ferait ça le mieux possible, pour que ça finisse le plus rapidement. Anne-Sophie se mit donc à me faire une des meilleures pipes que je n’ai jamais eues. La situation était insoutenable pour chacun d’entre nous. Anne-Sophie était vraiment très douée, et savait avec sa langue m’éveiller et me faire monter vers le plaisir. Aurore quant à elle me regardait en espérant que je jouisse au plus vite sur sa petite sœur. Apres quelques minutes terribles, je venais enfin sur le visage d’Anne-Sophie. J’étais heureux, elle aussi. Fidèles à leur promesse, les deux autres hommes sont venus rapidement, l’un dans le cul et l’autre sur le visage d’Aurore. Boris nous dit que nous avions été sages, et que l’humiliation était à présent terminée. Nous devions cependant rester attachés. Les trois hommes se rhabillèrent et partirent aussi vite qu’ils étaient entrés, un complice les attendant dans une voiture à l’extérieur. Quant à nous trois, nous parvînmes à nous détacher tant bien que mal quelques minutes plus tard. Bien que meurtris, nous n’avons jamais reparlé de cela en dehors de nous trois. Et nous n’avons jamais revu les trois hommes.