Nathalie et moi : première rencontre
Datte: 01/03/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
extracon,
piscine,
hotel,
intermast,
Oral
journal,
extraconj,
Auteur: Patswing, Source: Revebebe
... n’avaient pas d’espace privatif, donc le jacuzzi nous obligeait à être en contact physique. N’y aurait-il pas eu ce contact que la forme du bassin nous imposait, peut-être ne se serait-il rien passé…
L’eau chaude, les bulles, la lumière diffusée par le bain, cette proximité imposée, ma patience, tout amenait à ce que les pieds se croisent, puis les mollets, les cuisses se frôlent, on change légèrement de position, une jambe passe par-dessus ou par-dessous celle de l’autre, et on se retrouve vite collés l’un à l’autre, jambes imbriquées, contacts furtifs d’une cuisse sur entrejambes de l’autre, un genou qui frotte innocemment (innocemment ? Vraiment ?) un mont de vénus ou un sexe hyper tendu dans un maillot devenu vraiment trop petit… Les yeux se ferment pour mieux profiter de ce contact qui devient de plus en plus chaud, précis. Sans que l’un ou l’autre ne donne le signal, sans que l’on ne sache qui a fait le premier geste, nos lèvres se trouvent, s’entrouvrent, nos langues se mélangent, un soupir partagé et mélangé, les mains trouvent automatiquement les flancs de l’autre. Le baiser devient de plus en plus sensuel, nos respirations s’accordent, impossible de faire la distinction entre un soupir ou un gémissement d’aise…
Il fallait bien respirer un peu, et j’avais envie de sentir son corps contre mon sexe, qui lui avait en fait envie d’explorer non pas l’extérieur mais l’intérieur de son corps… Je lui redressai le dos, prétextant lui offrir un support plus confortable ...
... que la rigide paroi de la baignoire, et je me glissai derrière elle. Mon sexe se trouva donc de nouveau au niveau de cette zone dans le bas de son dos, la barre dure mais souple de mon désir lui massait du coup les vertèbres et elle laissa échapper un soupir de contentement révélateur l’avancée de son excitation.
Elle tourna légèrement la tête, une de ses mains passa derrière ma nuque, m’attira pour un autre baiser langoureux. Ses mains allèrent chercher les miennes, l’une posée sur une de ses cuisses, l’autre caressait son flanc. Elle attira mes mains et les guida vers les fermetures éclair de son maillot, et elle accompagna mon mouvement pour les ouvrit totalement. Puis elle lâcha mes mains, et sa langue pénétra encore plus fort dans ma bouche, le baiser passant de langoureux à franchement plus chaud et sensuel. Le signal ! J’avais le feu vert, et mes mains, tout doucement pour la faire languir, se glissèrent à l’intérieur de son maillot, sur son ventre d’abord pour bien ouvrir, le maillot, puis remontèrent pour effleurer ses seins pleins et lourds.
Je mets les mains en coupe, commence la caresse mammaire par le dessous, remontant sur les côtés extérieurs, les pouces effleurent à peine l’aréole de chaque sein, en évitant soigneusement les tétons… Puis je remets mes mains sous les seins, pour les soupeser, les malaxer par-dessous, et sans prévenir, mes pouces rejoignent les index en enserrant les tétons, doucement, les tétons roulent entre mes doigts… Je sais combien ...