1. Nathalie et moi : première rencontre


    Datte: 01/03/2018, Catégories: fh, hplusag, extracon, piscine, hotel, intermast, Oral journal, extraconj, Auteur: Patswing, Source: Revebebe

    ... avec poste de télévision, lecteur DVD (je vous laisse deviner le genre de disques mis à disposition), et une salle de bains au milieu de laquelle trônait ce jacuzzi qui m’avait fait choisir cette chambre en particulier. D’ailleurs, nous décidâmes de l’inaugurer tout de suite. Pendant que l’eau coulait, je m’approchai de ma belle et lui demandai si je pouvais la dévêtir. Sur son « oui » très faible et chevrotant de nervosité, je commençai à la déshabiller trèèèès doucement, tendrement. J’avais envie de la prendre, là, de suite, mais je lui prouvai que je pouvais me retenir. Cela mit fin à ses tous derniers doutes. Elle qui n’avait pas été touchée depuis 16 ans par un autre homme, et dont l’homme ne la déshabillait plus, elle put apprécier ma délicatesse lorsque que je lui soulevai doucement un pied après l’autre pour lui ôter ses chaussures en étant à genoux devant elle, le doux effleurement de mes mains lorsqu’elles remontèrent le long de ses bras, passant avec légèreté sur ses épaules, se rejoignant dans sa nuque, où après une caresse furtive sur les vertèbres cervicales qui la fit frissonner, mes doigts entreprirent de lui ôter le fin pull dont elle s’était vêtue. Sous le pull, elle était déjà en maillot une pièce, je m’en souviens encore, blanc avec une fermeture éclair sur chaque côté… Elle m’en avait parlé de ce maillot, et m’avait déjà annoncé comment elle me ferait signe qu’elle s’abandonnerait lorsqu’elle sentirait le moment arrivé : elle descendrait les ...
    ... fermetures éclair latérales, me laissant accès à sa poitrine par les côtés, me laissant l’initiative pour la suite de notre rencontre.
    
    Je défis sa robe, tout en frottant contre son dos (étant plus petite que moi, mon sexe n’était pas à hauteur de ses fesses, mais du creux de ses reins, et j’appris vite que toute caresse à cet endroit était comme un interrupteur de sensualité pour elle) la bosse qui était bien visible dans mon pantalon. Elle apprécia la dureté de mon sexe, je bandais pour elle, j’avais envie d’elle, je lui faisais sentir mon désir, mais malgré notre isolement, je me comportais comme si nous étions entourés et que ce soit mon seul moyen de lui révéler mon désir…
    
    Encore timide, mais déjà sa respiration se faisait rapide, elle préféra se glisser dans le jacuzzi, ne me rendant donc pas la pareille pour le déshabillage. Je ne lui en voulus pas, mais me dépêchai de me dessaper avec moins de retenue que je n’en n’avais eu pour elle, et donc je la rejoignis très vite dans l’eau bien chaude, vêtu moi-aussi du maillot que j’avais prévu sous mes vêtements de ville.
    
    L’eau… L’eau avait un effet magique sur Nathalie. Elle s’y sentait comme un dauphin, dans l’eau. D’ailleurs, le dauphin était son animal fétiche. L’eau la relaxait, lui faisait oublier tout ce qui était à plus de deux mètres d’elle, son homme, sa famille, ses soucis. L’eau et moi, il n’y avait plus que ça…
    
    Le jacuzzi était de bonne taille, deux adultes pouvaient s’y allonger côte à côte, seuls les pieds ...
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