1. Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante (8)


    Datte: 14/05/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... à m’endormir. À mon réveil le silence était toujours régnant et le Soleil éclairait ma chambre à travers les volets.
    
    Comme des coups de sabre à travers les volets, les rayons du soleil me faisaient savoir qu’il était temps que je me lève. J’ai décidé de rester un peu au lit, mais Muriel est venue discrètement dans ma chambre, pour se glisser sous les draps avec moi. Maintenant qu’elle n’avait plus à se cacher, je pouvais distinguer aisément son érection à travers sa fine une robe longue. Cela faisait quand même tout drôle de voir cette jolie femme venir se coller contre moi, et savoir que sous cette robe, il y avait un sexe long et ferme qui me désirait. Après ce qu’elle m’avait fait vivre récemment, je vais vous avouer que je n’étais pas contre l’idée qu’elle me saute à nouveau dessus. Cela a été plus fort que moi, quand elle s’est retrouvée collée contre moi, je n’ai pas pu me retenir de partir lui caresser de sexe. Sous les draps, d’une main je lui caressais le sexe, de l’autre je lui sollicitais la pointe de ses seins. Son sexe faisait facilement vingt centimètres de long et presque cinq centimètres de diamètre, dire qu’elle m’avait déjà planté ça entre les jambes, pour mon plus grand plaisir.
    
    Sa poitrine était tout aussi sensible que la mienne, à tel point que je l’entendais soupirer de plaisir dès que je lui pinçais les tétons. Pendant que j’étais en train de chauffer Muriel, je sentais mon minou qui était en train de prendre l’eau, ce qui m’excitait le plus, ...
    ... c’était l’odeur de son sexe désireux. Pour l’instant je me limitais à lui faire des baisers dessus, mais avec juste sa fine robe comme séparation, je ne sais pas ce qui me retenait de remonter sa robe, et d’être en contact direct avec ce sexe masculin, entre les mains d’une femme. J’ai fini par me décider, et c’est en lui caressant les cuisses, en remontant jusqu’à son sexe que j’ai fini par y accéder. Il n’y avait pas un seul poil sur ses cuisses et pas un non plus sur sa toison pubienne. Cela a été plus fort que moi, j’étais un peu en nocturne, mais j’ai pris son sexe en bouche. Je sentais ses mains, qui n’étaient pas loin de ma tête, comme si elle était prête à la retenir des fois que je veuille quitter son bâton de chair. En suçant ce sexe tout dur, j’avais retiré toute odeur masculine sous les draps, seule l’odeur de ma cyprine restait présente.
    
    — Tu n’imagines pas le bien que tu me fais ma chérie.
    
    — J’ai vraiment envie que tu me suces jusqu’au bout.
    
    Elle avait toujours sa douce voix féminine pour me parler, il n’y a pas à dire, Muriel avait l’air satisfaite de ma prestation. Maintenant elle donnait des coups de reins pour essayer d’aller encore plus loin dans ma bouche. Je suis remontée un instant pour prendre un peu d’air frais, mais surtout pour l’embrasser, j’étais en train d’embrasser une très jolie fille avec une magnifique poitrine, dans peu de temps son sexe allait me pénétrer de nouveau. Pendant que je l’embrassais, avec ma main droite j’ai relevé ma robe, ...
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