1. Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante (8)


    Datte: 14/05/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    Salut c’est votre folle de lycra
    
    J’étais donc dans la voiture de Geneviève avec Muriel au volant, et comme d’habitude, j’étais entre les jambes de notre chef d’entreprise. J’aurais été capable de supplier Geneviève pour pouvoir lui toiletter son entrejambe, j’adorais ses réactions à mes coups de langue.
    
    — Tu n’imagines pas le bien que tu me fais avec ta langue.
    
    — Jamais je n’aurais cru qu’une femme puisse donner autant de plaisir à une autre.
    
    — J’espère qu’en plus de faire des folies de ton corps durant ce week-end, tu apprécies les petits extras que je t’offre.
    
    C’est au moment où je sentais que Geneviève était sur le point de prendre son pied, que nous sommes arrivées à destination à savoir la maison qu’elle avait louée. J’étais un peu gênée car quand Muriel est venue ouvrir la porte, j’étais encore toute décoiffée et le visage plein de mouille.
    
    À quelques secondes près Muriel m’aurait surprise sous la robe de sa patronne. Je ne sais pas ce qu’elle aurait pensé de moi, peut-être que je ne pensais qu’à brouter du minou. Nous sommes sorties de la voiture pour rentrer dans la maison et, en geste d’une grande complicité, j’ai eu le droit à une main au cul de leur part. Nous étions en train de créer un trio très uni, mais aussi très complice. Telle une mère, Geneviève m’a invitée à me mettre à travailler, tout en sachant que c’est ce que j’avais prévu. Arrivée dans ma chambre, je me suis passé un coup d’eau sur la figure, puis je me suis immédiatement mise au ...
    ... boulot, je me sentais vraiment très bien, en compagnie Muriel et Geneviève, j’avais l’impression que cette dernière voulait tout réunir pour que je réussisse mes études. Ce n’est que vers vingt heures que Muriel est venue me chercher pour que nous passions à table. Une fois de plus, c’était un traiteur qui nous avait apporté le repas, toujours un menu gastronomique. À mesure que je partageais des moments avec ces deux personnes, j’avais l’impression que nous étions en train de former une petite famille.
    
    Comme d’habitude après le repas nous avons effacé toute trace de notre passage, ce que j’appréciais c’est que même Geneviève mettait la main à la tâche. Après le repas, Geneviève nous a mis un DVD avec Al Pacino, le seul rôle qui lui a donné un Oscar, il y exécute un tango d’anthologie avec une jeune partenaire. Ce film est un remake du film italien "parfum de femme" de Dino Risi avec Vittorio Gassman. Nous n’avons pas dit un mot pendant le film, par contre après nous en avons parlé toutes les trois, Muriel et moi avons félicité Geneviève pour son excellent choix de programmation. À ma grande surprise, nous sommes parties nous coucher, on ne peut plus sagement ; en même temps la journée avait été riche en émotions. J’étais quand même tout excitée avant de m’endormir, mais accompagnée de juste un petit rayon de lumière venant de l’extérieur, et surtout du bruit pour ainsi dire absent excepté le craquement du parquet et des boiseries dans la maison, je n’ai pas été bien longue ...
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