Des vacances ... olé olé (1)
Datte: 12/05/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: chousinga, Source: Xstory
... grand parking, plutôt que sur les occupants du camping, quasi vide à cette époque.
De nombreux serveurs se démènent au milieu d’un indescriptible brouhaha, typique des bars et restos du sud. Parmi le personnel de salle, je remarque qu’il y a seulement deux filles pour cinq ou six garçons et, bien entendu, c’est à elles que je m’intéresse. Elles sont très différentes l’une de l’autre et je m’amuse à les comparer pour passer le temps.
La première a un physique classique d’Andalouse. Elle est plutôt petite, environ 1,65m, la peau mate et basanée et ses longs cheveux noirs et lisses, réunis en queue-de-cheval, lui tombent jusqu’au milieu du dos. Son visage est agréable avec des yeux sombres, un nez droit, des lèvres charnues et des pommettes hautes. Elle est mince, avec une taille fine et le dos bien cambré, ce qui met en valeur un fessier rebondi et une poitrine avantageuse. Elle a des hanches en amphore et un "tigh gap" bien marqué, ce qui la rend particulièrement sexy. Enfin, elle est vêtue d’un pantalon noir moulant et d’un chemisier blanc dont les deux premiers boutons sont ouverts, laissant deviner la raie entre ses seins. Question de se grandir un peu, elle est juchée sur des chaussures à talons hauts, mais confortables, retenues par une boucle autour de la cheville et qui lui confèrent un beau galbe de jambes. Bref, un bien joli morceau !
La seconde est tout autre. Très grande, pas loin d’1,80m, fort mince, presque maigre, la peau blanche et de longs cheveux ...
... bouclés roux, également réunis en queue-de-cheval. Contrairement à sa collègue, elle a des hanches étroites, un fessier peu marqué, une poitrine menue et de très longues jambes. Son visage, qui pourrait être joli, est malheureusement enlaidi par une vilaine paire de lunettes à grosse monture noire et, surtout, un affreux piercing en forme d’anneau qui lui traverse la paroi du nez, la faisant ressembler à une vache qu’on mène à l’abattoir ! Vraiment dommage. Enfin, pour finir de la décrire, elle aussi est vêtue d’un pantalon noir, non moulant dans son cas, et d’un chemisier blanc boutonné jusqu’au ras du cou. Cela semble être une sorte d’uniforme, mais dont le port est interprété différemment par chacune d’elles ! Par contre, vu sa taille, elle a sagement opté pour des baskets.
Je préfère nettement la première, mais, pas de chance, c’est la rousse qui s’approche de ma table et me dépose la carte en me demandant ce que je veux boire, comme c’est l’habitude dans les restaurants espagnols. Vu que je ressemble clairement à un touriste et non à un local, elle s’est adressée à moi dans un anglais impeccable, mais je lui réponds dans la langue de Cervantès : "Una cerveza !". Et elle s’en va passer ma commande au bar.
J’observe que l’autre, qui rodait dans le coin, lui jette un regard noir et s’éloigne à son tour.
Après quelques instants, elle me dépose ma bière et me demande, en espagnol cette fois :
— Vous avez choisi ?
— Euh, non, pas encore.
— Pas de problème, faites ...