1. Des vacances ... olé olé (1)


    Datte: 12/05/2019, Catégories: Hétéro Auteur: chousinga, Source: Xstory

    ... Elle ne détourne pas le regard et me fait même un clin d’œil.
    
    — Si tu veux, on peut continuer cette conversation après mon service, je termine dans une heure environ.
    
    — Avec grand plaisir, où puis-je te retrouver ?
    
    — Eh bien, en face du restaurant, il y a une petite route qui monte dans la colline et tu y verras plusieurs villas disséminées. L’une de ces maisons est celle de mes parents et c’est là que j’habite. Tu peux m’attendre au début de cette route, nous y monterons à pied, ce n’est pas loin.
    
    Plutôt déçu qu’elle envisage de m’emmener chez ses parents, je me dis que ce serait peut-être mieux de laisser tomber et de m’attaquer plutôt à sa collègue. De toute façon, elle n’est pas canon et pour me défiler, je lui dis :
    
    — Euh, oui bien sûr, mais je ne voudrais pas déranger tes parents en m’imposant chez eux sans crier gare !
    
    — Pas de soucis, ils ne sont pas là pour l’instant, ils sont allés voir ma grand-mère en Angleterre, car elle se fait vieille. On aura toute la maison, le jardin et la piscine pour nous seuls.
    
    Evidemment, cela, ça change tout. Si elle envisage de m’amener chez elle en tête à tête, tous les espoirs sont permis ! Elle a même parlé de piscine ce qui signifie que, dès la première rencontre, j’aurai au minimum l’opportunité de la voir en maillot de bain, ce qui est une excellente entrée en matière ... pour aller plus loin !
    
    — D’accord, on fait comme ça. Je prends mon repas puis je t’attends là.
    
    Elle approuve en me faisant un grand ...
    ... sourire, ce qui la rend immédiatement plus agréable à regarder. Je me dis que, même si cette fille n’est pas Vénus, mes vacances commencent bien.
    
    Finalement, je commande le menu du jour qui a le double mérite d’être à la fois économique et pas trop abondant. Car je ne dois surtout pas me surcharger si je veux me montrer performant le cas échéant. Et j’ai bien l’intention de nourrir mon corps à bref délai de plaisirs autres que ceux de la table.
    
    C’est donc suffisamment ragaillardi par ce léger repas que je sors du restaurant et vais me poster à l’endroit convenu. Il fait maintenant fort chaud et je trouve un abri bienvenu sous un figuier qui a la bonne idée de pousser à cet endroit.
    
    Au bout d’un quart d’heure, je vois Jane sortir du restaurant, aisément reconnaissable à sa tignasse poil de carotte. Elle jette un coup d’œil autour d’elle, comme pour voir si on ne l’observe pas, puis, m’ayant repéré sous mon figuier, elle traverse la route et vient dans ma direction.
    
    Et c’est une tout autre fille que je vois s’approcher de moi.
    
    Elle a défait sa queue-de-cheval et son abondante crinière rousse et bouclée cascade librement sur son dos jusqu’en dessous de ses omoplates. Elle a aussi retiré ses affreuses lunettes et son horrible piercing et son visage est éclairé de ce si joli sourire que j’avais déjà remarqué plus tôt. Enfin, elle a déboutonné son chemisier de deux crans et, même si son décolleté ne semble pas contenir grand-chose, ça la rend directement beaucoup plus ...
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