1. La bourgeoise et le marabout (17)


    Datte: 12/05/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... ma chatte a un peu de mal au début à l’engloutir entièrement. Mais dès qu’il glisse ses mains sous mon chemisier, me caresse les seins et me pince doucement les tétons, je mouille abondamment et il peut enfin investir totalement la place offerte. Après une bonne dizaine de minutes à me faire baiser ainsi, je lui dis
    
    — Tu devrais peut-être proposer au patron du bar d’en profiter aussi ??? Ainsi, il t’aura à la bonne quand tu reviendras chez lui.
    
    Karim me répond
    
    — Tu es vraiment une sacrée kahba ! Mes copains avaient vu juste.
    
    Puis il se saisit de son portable et dit quelques mots en arabe que je ne comprends pas.
    
    Moins de deux minutes après, le patron nous rejoint dans les WC. Il doit avoir une cinquantaine d’années, a un peu de bedaine mais je lis dans ses yeux que c’est un pervers. Je fais en sorte que Karim s’appuie maintenant contre le lavabo et je viens face à lui pour qu’il me reprenne la chatte. Je suis certaine que la patron va apprécier s’occuper de mes fesses. Je donne ma bouche à Karim après lui avoir demandé de bien m’écarter les fesses de ses deux mains. Il s’empare aussitôt de mes deux globes fessiers et les ouvre du mieux possible. Une fois qu’il a enfilé son préservatif, le patron crache dans l’une de ses mains et me prépare à la sodomie. Bien prise par Karim, je jouis au simple contact de ses doigts sur mon cul. Une fois qu’il m’a bien lubrifiée, il pose son gland sur ma rosette et, d’un coup sec, me sodomise. Je pousse un cri atténué par la ...
    ... langue de Karim qui joue avec la mienne. Tandis que le jeune me malaxe les fesses, le vieux me tripote les seins. Rapidement, ils accordent leurs coups de boutoir pour être ensemble au fond de moi. Quel bonheur de sentir ces deux queues qui me possèdent à l’unisson ; j’ai l’impression qu’elles vont me transpercer de part en part et que les deux glands vont se toucher au fond de mon intimité. Tout en me baisant avec frénésie, les deux hommes se parlent mais je ne comprends rien à ce qu’ils disent. Qu’importe, j’apprécie cette position en sandwich et je suis certaine que maître Coulibadou serait fier de me voir ainsi baiser dans les toilettes d’un café de banlieue. Je ne sais plus combien d’orgasmes j’ai eu lorsque les deux hommes jouissent à leur tour. Lorsqu’ils se retirent, j’ai la chatte et le cul béants mais que cela est bon d’être ainsi apaisée par ces étreintes bestiales.
    
    Le patron remonte le premier puis nous remontons ensuite après nous avoir embrassés encore un peu. Avant de rejoindre notre table pour finir notre thé a la menthe qui a refroidi, je fais un petit crochet en passant près de la table des copains de Karim. Je sors le string de mon sac et je le pose devant eux avant de retourner m’asseoir. Je les vois renifler mon string pour apprécier mon doux parfum de kahba ; j’écarte grand les jambes pour leur montrer que je suis la chatte à l’air. Je pose un billet sur la table, embrasse de nouveau Karim et le quitte en lui disant que je garde son numéro de téléphone ...