1. La bourgeoise et le marabout (17)


    Datte: 12/05/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    Suivie d’une main de maître par Monsieur Coulibadou et de temps en temps partagée par mon mari François, je commence vraiment à m’émanciper sexuellement et j’avoue que j’y prends un plaisir certain. Lorsque je suis avec mon marabout, je me laisse aller car je sais qu’il va obtenir le meilleur de moi. Lorsque je suis avec François, je le laisse me diriger car je sais qu’il y prend plaisir. Mais plus je deviens salope sous leur direction, plus je me rends compte que c’est également excitant de prendre les choses en main de temps en temps. Il est donc bon que, régulièrement, je m’affranchisse de mes deux mâles – mon thérapeute et mon mari – pour oser être une bourgeoise libérée qui assume totalement son envie de sexe, de lubricité et de perversion.
    
    Cet après-midi, j’ai un rendez-vous professionnel chez un de nos clients installé dans la banlieue parisienne sur la commune de Saint-Ouen. Après la réunion de travail, qui avait pour but de proposer des questionnaires d’évaluation RH pour des entretiens d’embauche, je décide de m’arrêter au centre ville pour faire quelques courses alimentaires. Ainsi, je n’aurai pas à ressortir de chez moi une fois rentrée à la maison après le travail. Je rentre donc dans une petite supérette et je fais finalement plus de courses que j’envisageais. J’ai les bras chargés en sortant du magasin lorsqu’un jeune beur d’une vingtaine d’année m’aborde et me propose de porter mes sacs jusqu’à ma voiture. J’accepte bien volontiers et, une fois les affaires ...
    ... dans le coffre, je lui demande comment je pourrais le remercier. Il me répond
    
    — Pour épater mes copains qui seraient raides dingues de me voir avec une femme aussi classe, ce serait cool si vous pouviez m’offrir une boisson au café d’à côté. C’est le lieu de rassemblement de toute notre bande.
    
    Je lui fais un grand sourire et je lui dis que j’accepte car j’ai encore une heure de libre. En effet, je ne vais pas repasser au travail pour juste une heure qu’il me reste à faire.
    
    Nous entrons donc dans le bar et nous installons à une table. Il n’y a que des hommes, de tous les âges, et pas une seule femme exceptée moi. Mon accompagnateur, qui s’est présenté comme étant Karim, m’explique que les filles du coin n’ont pas vraiment le droit de fréquenter les bars. Je comprends vite que la plupart des clients sont de confession musulmane et que, pour eux, les femmes restent à la maison. Une fois que nous avons commandé deux thés à la menthe, Karim me laisse quelques instants pour aller saluer quatre ou cinq de ces copains assis dans un coin de la salle et occupés à fumer la chicha. Une fois qu’il revient près de moi, il se penche à mon oreille et me dit tout bas
    
    — Les potes vous trouvent très séduisante ! Enfin, ils l’ont dit autrement mais je ne voudrais pas vous choquer.
    
    Je regarde en direction du groupe de copains, leur fait un petit bonjour de la main accompagné d’un grand sourire, puis je fixe de nouveau Karim
    
    — Allez, dis moi ce qu’ils ont dit. A mon âge, j’en ai ...
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