1. Le monde des hommes-chiens. (3)


    Datte: 11/05/2019, Catégories: Divers, Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... des matelas et des bancs avaient été disposés pour chacune d’entre nous. Je mouillais.
    
    C’est à ce moment que je remarquai que le sol était sillonné de petites rigoles comme si les dalles du carrelage étaient volontairement disjointes.
    
    Il faisait chaud. Je commençai à transpirer mon cœur battait la chamade, je respirai fortement soulevant ma poitrine. J’avais envie qu’on me pince les tétons, j’avais envie de sucer une de ces bites, j’avais envie qu’on me prenne et, n’étant pas la plus délurée, je devinai quel devait être l’état de certaines de mes collègues... et de ma sœur.
    
    Chaque place était attribuée et nous la reconnûmes par une pancarte à notre nom, une sorte d’hologramme où défilaient nos mensurations et où l’on nous montrait nue sous toutes les coutures. Quand nous fûmes installées, il y eut un signal et un mâle quitta le premier rang et s’approcha. La scène se reproduisit trente fois. Leur tour avait été tiré au sort.... les suivants déjà faisaient... la queue.
    
    Je n’eus que quelques secondes pour apprécier celui qui vint vers moi. Il me parut rougir un peu ce que je trouvais touchant, mais j’étais beaucoup plus attirée par son bas ventre où un énorme sexe ballottait de droite et de gauche au rythme de ses pas. Il me parut terriblement dur, terriblement dressé et je vis les jellubsters se gonfler et dépasser la collerette du gland, dodu et écarlate, désirable comme un fruit à croquer.
    
    Je regardai autour de moi, un peu inquiète, mais les filles étaient ...
    ... déjà dans les bras d’un solide gaillard. Le mien me prit, me retourna et me mit en levrette avant que j’ai eu le temps de dire quoi que ce soit.
    
    Je sentis son énorme braquemart exercer une ferme pression sur ma vulve qui fut tout de suite inondé de jellub. Le pénis écarta les lèvres, entra, et la sensation de cette grosse masse de chair fut exquise et encore plus celle des jellubsters qui suintaient encore et étaient gonflés à bloc. Quand je fus suffisamment lubrifiée, le mâle poussa un grand coup de rein et la bite vint s’enfiler d’un coup tout au fond. Je sentis le gros morceau passer. Aïe ! C’était du calibre XXL et j’eus un peu mal. Je ne pus contenir un cri de douleur qui fit écho à ceux que quelques-unes de mes camarades avaient poussé et qui en précéda d’autres.
    
    La pine me remplissait la chatte et la base se mit à gonfler démesurément. Il me sembla qu’elle s’agitait à l’intérieur sans que le mâle bouge puis il éjacula avec la puissance d’une lance de pompier. Le tout avait duré moins d’une minute. Je n’avais pas joui, j’étais frustrée. Il resta quelques instants en moi le temps que ça bite dégonfle. Je lui demandai de s’occuper de moi mais il était tellement godiche qu’il ne sut rien faire que de rester allongé sur moi. Il était lourd, je sentais et j’appréciais sa masse mais il ne se passait rien.
    
    En regardant à droite et à gauche, je vis que mes compagnes avaient à peu près subi le même sort. L’une d’entre elle, était debout et refusait d’accueillir un nouveau ...