1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : le train


    Datte: 10/05/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... culotte dans le compartiment et reboutonnant partiellement mon chemisier. J’ai pris Kévin par la main et nous nous sommes dirigés vers les toilettes, Kévin avait ostensiblement une main sur mes fesses. Bien que nous fussions impatients de baiser, nous nous sommes arrêtés deux fois dans le couloir, pour nous embrasser. Je sentais contre moi le désir de Kévin.
    
    Après un rapide coup d’œil pour vérifier si personne ne nous voyait entrer à deux, nous nous sommes faufilés à l’intérieur. J’ai tout de suite dégrafé sa ceinture et ouvert sa braguette, libérant à nouveau sa queue tendue comme un arc.
    
    Je voulais éprouver sa résistance et j’avais encore un peu envie de le sucer. J’ai happé le gland, puis je l’ai pompé en engloutissant sa bite sur toute la longueur. De mes deux mains, j’ai descendu le pantalon sur ses genoux, dégageant le passage pour caresser ses couilles et les lécher.
    
    Kévin me suppliait, me tendant un préservatif :
    
    • Olga, s’il te plait !
    
    J’ai enfilé la capote sur sa queue, qui perlait de désir. J’ai descendu ma jupe, je me suis retournée, penchée au-dessus du lavabo.
    
    Il s’est positionné derrière moi pour pénétrer ma chatte que je sentais incroyablement ouverte, gonflée et mouillée.
    
    Pris d’un désir violent de me posséder, Kévin a pénétré ma chatte, luisante de mouille. Toute sa grosse tige a disparu en moi. Malgré l’étroitesse de l’endroit, ses mouvements étaient amples et voluptueux. Je ne pouvais m’empêcher de couiner de plaisir tant son membre ...
    ... me rendait folle.
    
    J’avais pris mon mobile avec moi, je savais que Philippe était toujours en ligne et devait apprécier ce qu’il entendait.
    
    • Ca te plait, Philippe ? Il me baise bien, tu sais !
    
    Philippe ne disait plus rien. Je savais qu’il n’en perdait pas une miette et qu’il devait se caresser, en imaginant la scène qui était en train de se dérouler.
    
    Kévin s’est accroché à mes hanches comme pour mieux s’enfoncer. Son mouvement s’est fait plus rapide, plus fort, et je me suis mise alors à jouir bruyamment.
    
    Nous nous nous sommes ensuite rhabillés, avec au départ l’intention de rester tranquilles, afin de de ne pas prendre le risque d’être surpris. Mais ces bonnes résolutions n’ont pas tenues bien longtemps : nous avons remis le couvert, dans le compartiment, nous contentant de tirer les rideaux qui donnaient sur le couloir.
    
    REMETTRE LE COUVERT
    
    Je me suis mise assise sur les genoux de Kévin. Il plonge ses deux mains sous la ceinture de la jupe et dans le même mouvement sous l’élastique du slip et les fait glisser à la hauteur de mes genoux.
    
    Je sens le membre de Kévin contre mon ventre dénudé. S’appuyant sur mes mains, je remonte encore un peu, sentant le sexe gonflé s’insinuer contre mes lèvres.
    
    Les mains toujours sur mes fesses, Kévin me guide jusqu’à ce que son sexe soit juste en place.
    
    • Je n’ai pas d’autre préservatif, tu sais !
    
    • Tant pis, viens, je ne suis pas en période dangereuse, je te fais confiance et j’en ai trop envie. Et d’ailleurs ...
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