Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : le train
Datte: 10/05/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Olga T, Source: Hds
... blanche. Vas-y, fais la bien jouir !
• Vous pouvez compter sur moi, Monsieur !
Je me cambre maintenant, pour mieux sentir contre mes fesses le membre de Kévin. Je le sens, volumineux et épais. Je glisse une main derrière moi, franchis la ceinture du slip et bientôt prend en mains un membre raide et doux.
Son pénis est chaud et lisse, ma main a du mal à en faire le tour. Le serrant entre mes doigts fins, je le caresse doucement et longuement.
• Oh Philippe, mon chéri, sa bite est magnifique ! Je vais le sucer et il va me baiser !
Kévin, pendant ce temps, a complétement ouvert mon chemisier, libérant mes deux seins. Il les caresse avec passion, allant de l’un à l’autre, les malaxant à leur faire mal, jouant avec leurs pointes érigées vers le ciel.
Ce voyage, qui s’annonçait interminable, a pris une toute autre tournure. Je veux à mon tour m’occuper de mon amant.
FELLATION ET COITS
Lentement, j’oblige Kévin à me lâcher. Je descends de la banquette et me retourne. Je tire sur la ceinture du pantalon de Kévin, je dégage enfin son sexe, et l’approche de ma bouche.
Le premier contact est soyeux, chaud et doux. Je pose mes lèvres sur le gland, je sors délicatement la langue et doucement le lèche. Ma langue accroche le méat et le titille, puis, ouvrant plus grand la bouche, je fais franchir le seuil de mes lèvres au gland congestionné. Je fais glisser le membre le long de ma langue, de plus en plus profond dans ma bouche. Je serre les lèvres autour de la ...
... hampe pour mieux lui faire sentir mon envie de lui. Je le prends au plus profond de ma bouche, soupesant et malaxant ses testicules de mes doigts nerveux, commençant à lui administrer une fellation magistrale.
Kévin s’est mis à gémir, ce qui a redoublé mon excitation. Ma langue déguste chaque centimètre de sa queue. Je me suis attardée aux endroits les plus sensibles de son engin, écoutant avec satisfaction les soupirs rauques qui sortaient du fond de sa gorge. Par moments, je presse d’une main ses couilles en le regardant dans les yeux. Son sexe est dur, gorgé de sang, prêt à éclater.
• Oh que c’est bon, jamais je n’ai connu une telle pipeuse. Je n’en peux plus. Si tu continues, je vais exploser dans la bouche. Je ne veux pas, en tout cas pas tout de suite. Je veux te prendre, te baiser. Tu veux, Olga, tu as envie ?
Je me redresse et me serre dans ses bras. Je lui donne mes lèvres, notre baiser est torride.
• Oh oui, j’en ai envie. Je fantasme sur ta bite depuis que j’ai remarqué que je te faisais bander à mort. On va d’abord faire ça aux toilettes.
• Pourquoi ? Ce n’est pas très glamour, et surtout pas très pratique !
• Ca fait partie des endroits où j’aime me faire baiser. J’y suis allée tout à l’heure, ne t’inquiète pas, c’est propre. Et si tu as assez de réserves, on continuera ici, le voyage est loin d’être terminé.
• Je n’avais jamais rencontré une femme comme toi !
Nous nous sommes rapidement rhabillés, du moins j’ai remis ma jupe, laissant ma ...