Première visite au Château
Datte: 09/05/2019,
Catégories:
ff,
2couples,
religion,
grossexe,
grosseins,
fépilée,
soubrette,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
historique,
historiqu,
Auteur: Ben, Source: Revebebe
... maîtresse.
Dans l’alcôve, le Cardinal propose un changement de position :
— Madame, vous êtes sublime. J’apprécie beaucoup de voir vos gros seins s’agiter au rythme de mes coups de boutoir. Ne trouvez-vous pas le spectacle fascinant, Sire ?
— Tout à fait excitant en effet. Et Sœur Amélie semble aussi être bien excitée par cette vision.
— Je ne sais ce qui m’excite le plus, Sire : votre bite qui me pénètre, ses seins qui s’agitent, ou sa bouche qui me tète.
— En tout cas, elle a le sexe bien accueillant, quoique serré. Voudrez-vous en tâter, Sire ? Vous pourriez prendre ma place, pendant que je m’occuperais de sœur Amélie.
— J’ai une autre idée, Monsieur. Je suis sûr que sœur Amélie a déjà goûté à votre membre ce matin après la messe. Non ? Bien sûr, j’ai raison. Elle est trop perverse pour y résister lorsque vous la rejoignez dans la sacristie.
— Que proposez-vous donc, alors ?
Sans répondre, le roi se retire du sexe de la nonne, passe derrière le Cardinal et s’accroupit. Il tend la main entre ses jambes. Madame de Marans pousse un petit cri, suivi d’un grognement de satisfaction.
— J’en étais sûr. Elle a tant mouillé qu’elle est trempée entre les fesses, et son petit trou humide ne demande qu’à être pénétré. J’y enfonce sans peine mon pouce, mais il veut bien plus. Allongez-vous sur le divan, Cardinal… Et vous Madame, enjambez-le. Empalez-vous. Oui bien sûr, vous avez compris. Il suffit de vous voir onduler du cul et écarter vos fesses. Regardez, Sœur ...
... Amélie, comme notre nouvelle amie attend cela.
Madame de Marans, enfoncée sur le pieu du Cardinal, les deux mains plaquées sur sa croupe, écarte elle-même ses fesses pour révéler son anus fripé. Le roi s’approche, pose son gland sur la raie, la laisse un instant se tortiller. Il pose le gland sur l’œilleton, l’enfonce petit à petit. Il n’a aucune peine à lui enfoncer son sexe entièrement.
— Voilà, j’y suis. À fond.
— Oh je vous sens bien, un devant, l’autre derrière. Oui, c’est bon. Défoncez-moi, prenez-moi, je vous en supplie, c’est trop bon. Je me sens pute, faites de moi votre pouliche, montez-moi avec fougue
— Et moi, qui me fera jouir ? supplie la nonne.
— Eh bien, continuez à vous faire sucer le bout des seins. Nous savons bien que vous les avez si sensibles que vous jouirez rapidement de vous les faire téter.
Le roi commence à agiter son bassin, imité aussitôt par le Cardinal. Comblée des deux côtés par ces queues qui la pénètrent, Madame de Marans gémit de plus en plus fort son plaisir. Cela ne fait qu’exciter davantage les deux hommes, qui ahanent en la pénétrant de plus belle. La nonne, tout en se doigtant frénétiquement, agite ses seins au-dessus du visage de Madame de Marans, et lui fait téter les bouts l’un après l’autre. Caroline a sorti son sein gauche de son corsage, et le masse vigoureusement. La vue de cette femme au corps sublime qui se tord de plaisir sous les coups de boutoir conjugués de ses deux amants l’excite au plus haut point. Elle regarde ...