1. Première visite au Château


    Datte: 09/05/2019, Catégories: ff, 2couples, religion, grossexe, grosseins, fépilée, soubrette, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe historique, historiqu, Auteur: Ben, Source: Revebebe

    ... sans grand intérêt avec un tas d’autres courtisans. Elle commence à s’ennuyer de ces banalités. Est-ce là l’esprit de la cour ? Heureusement, la vision de toutes ces tenues, de toutes ces coiffures, de tous ces bijoux l’occupe un long moment. Elle ne peut s’empêcher de se comparer à quelques autres jeunes femmes qui sont là. Elle n’a peut-être pas la robe la plus riche, la plus précieuse, mais elle se dit que sa robe rouge met bien en valeur sa silhouette, et qu’elle est sans doute la plus séduisante des jeunes filles qui sont là, hormis peut-être une jeune femme aux cheveux rouges spectaculaires. Elle se demande un instant qui peut être cette rousse : une noble, une courtisane, une favorite du roi, ou de la reine ? À voir son port altier, son regard fier, sa moue un peu dédaigneuse, elle fait sans doute partie des femmes qui comptent. Si elle pense à une courtisane ou une favorite, c’est que sa robe de tissu précieux est bien trop sensuelle pour une épouse de bonne famille : le décolleté généreux découvre ses seins laiteux et ses épaules souples, la fente de ses jupes laisse apercevoir une jambe fine ornée de bas précieux, et la courbure de ses mollets nerveux est accentuée par la hauteur de ses escarpins.
    
    Soudain, sa mère la ramène vers la sortie. Elle lui demande de l’attendre un moment sur le perron. Elle doit voir quelqu’un en tête-à-tête, et viendra la chercher dès que son entretien sera terminé. Sitôt seule, Caroline voit Élodie s’approcher d’elle. Elle est bien ...
    ... heureuse de la retrouver pour lui confier ses impressions. Lorsqu’elle lui avoue s’être ennuyée, Élodie la prend par le bras et, chuchotant à son oreille, lui propose de la suivre.
    
    Caroline suit sa soubrette. Elles contournent le bâtiment. Élodie ouvre une petite porte. Elles pénètrent dans un petit couloir sombre. Élodie lui explique qu’il s’agit d’un couloir qui sert aux domestiques à se déplacer à travers le palais sans importuner les nobles. Elles marchent vite, montent plusieurs escaliers. Caroline ne sait plus où elle est, quand Élodie s’arrête devant une petite porte. Elle fait signe à sa maîtresse d’approcher, et lui fait coller l’oreille contre la porte. Caroline entend des voix d’hommes, puis soudain un petit cri de femme, suivi de gémissements. Elle essaie de comprendre le dialogue, et ne parvient qu’à en saisir quelques bribes : « À votre tour… Elle est bien accueillante… comme dans du beurre… À fond… suce… » Aucun doute quant à la nature du dialogue : un groupe d’au moins trois personnes est en train de prendre son plaisir dans cette pièce. Et la voix de la femme lui rappelle quelqu’un, sans qu’elle puisse identifier exactement de qui il s’agit. Élodie lui fait signe de garder le silence, et l’attire sur le côté. Un couloir obscur s’ouvre là. Au fond, un pinceau de lumière traverse un œilleton qui permet d’observer ce qui se passe dans la pièce sans être vu…
    
    Caroline est avide de découvrir la scène, mais Élodie l’a devancée, et a déjà l’œil rivé à l’œilleton. ...
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