1. Le Théâtre de l'Enclume (1)


    Datte: 28/02/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: megalosex, Source: Xstory

    ... mes amis, j’ai un cadeau pour vous.
    
    Ernestine sort de scène pour y revenir aussi vite, avec un petit magnétophone en main :
    
    — Vous allez entendre les effets du plaisir que la grosse queue de mon fils, Rocco, me procure.
    
    Elle déclenche le magnétophone et l’approche du micro.
    
    — OOOOH ! OUIIIIIIII ! RAMONE- MOI AVEC TA GROSSE BITE ! TU ME RENDS FOOOOOOOLLE ! J’ADOOOOOOORE ! TU M’EXCIIIIIIITES ! JE SUIS TA CHIENNE DE MAMAN ! MON FIIIIIIILS ! VAS- Y ! VAS-Y ! ENCUUUUUULE- MOI ! AAAAAAAARRRRRRRRRGGGGG ! JE VAIS JOUIIIIIIIIIR ! JE VAIS JOUIIIIIIIIIIIIIR !
    
    (La bande son dure huit minutes, mais vous n’en aurez pas plus : je ne tiens pas à indisposer nos dévoués validateurs par une avalanche de borborygmes plus ou moins compréhensibles)
    
    Quand Ernestine stoppe le magnétophone, le public, un instant sonné, ne réagit pas puis, c’est un tonnerre d’applaudissements. Mieux, voilà qu’ils se lèvent tous –pour Ernestine-, et qu’ils lui font, comme on dit en franglais unestanding ovation. Puis, tous entonnent l’air des supporters d’Ernestine :
    
    Ernestine c’est une coquine,
    
    Elle aime les grosses pines,
    
    Surtout celle de son fils Rocco,
    
    Qui la rend folle du ciboulot.
    
    Elle écoute l’hymne, quasiment au garde-à-vous. Des larmes coulent sur son visage. Elle est très émue. Sa prestation est un triomphe. Quand le chant se termine, Ernestine annonce, des trémolos dans la voix :
    
    — Mes ...
    ... amis, j’ai un dernier cadeau à vous faire !
    
    Et devant son public ébahi, Ernestine fait glisser sa culotte sur ses chevilles, la retire et la prend en main. Puis, la faisant tournoyer :
    
    — Qui veut ma culotte toute trempée ?
    
    Et elle la lance sur les spectateurs. C’est la ruée et on manque de peu d’en venir aux mains : dame, une culotte trempée de la mouille d’Ernestine Brouteminoux, quel trophée ! Un certain Serge Bouviol regrettera d’avoir renoncé à venir au dernier moment … Finalement, c’est un homme à la carrure de rugbyman qui brandit, triomphalement, la petite culotte (j’avais oublié qu’il faut dire « petite culotte » …) d’Ernestine.
    
    Elle a droit, maintenant, à un triple ban, en guise de final. Puis, comme à regret, elle sort de scène, tandis que les spectateurs se lèvent et quittent la salle.
    
    Olivier Mégaleau est là, qui l’attend :
    
    — Oh ! Ernestine, vous étiez formidable ! Je n’espérais pas un tel succès !
    
    Puis son regard se porte sur les jambes d’Ernestine :
    
    — Hum ! Et dire que vous n’avez plus de culotte …. Vous êtes une sacrée coquine, Ernestine !
    
    Et, alors qu’elle passe devant lui, il lui met la main au popotin. Et elle, de répondre, tout en affichant un air mutin :
    
    — Et vous un sacré coquin, Olivier ! S’il n’y avait pas mon fils …
    
    Fin … de la première représentation. Les suivantes ne sont pas programmées à l’avance. Elles dépendront de mon imagination. 
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