1. Le Théâtre de l'Enclume (1)


    Datte: 28/02/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: megalosex, Source: Xstory

    ... nous intéresse. L’inceste mère/fils, ça commence souvent de la même façon : le père disparaît et aller savoir pourquoi, on ne pense jamais à le remplacer … Pour moi, cela s’est passé ainsi :
    
    — Il y a environ deux ans, alors que nous prenions le petit-déjeuner, mon mari me lance, tout en beurrant sa biscotte …. (Deux spectateurs assis côte-à-côte, se marrent). Qu’est-ce que j’ai encore dit ? Attendez, laissez-moi réfléchir … Putain, faut vraiment avoir l’esprit tordu pour imaginer un truc pareil ! Vous savez quoi ? Je disais, benoîtement, qu’il beurrait sa biscotte, et ces deux abrutis, je ne trouve pas d’autres mots, on traduit aussi sec : il malaxait sa zigounette ! Pff …
    
    (Le calme revient)
    
    — Donc mon mari me lance : « Chérie, je mets les voiles ; je me tire aux Galapagos ! Je te laisse la maison, le gamin, tout, quoi ! » Galapagos ? Un moment j’ai cru que c’était en Grèce … Ben, ça se termine par « os ». Quand j’ai su que c’était du côté de l’Équateur, et qu’en plus il y avait des tortues … j’ai vite imaginé des choses … je ne vous dis pas lesquelles, ce n’est pas le sujet du moment. Mais c’est qu’il est bel et bien parti, le bougre, et je me suis retrouvé seule avec mon grand fils.
    
    Ernestine marque un temps d’arrêt :
    
    — Au début, ça n’a pas été trop dur. Pour me « soulager » je lisais des histoires cochonnes sur XStory, et c’est comme ça que j’en suis venu à m’intéresser à l’inceste. Faut dire que les histoires d’inceste, ce n’est pas ce qui manque sur le ...
    ... site. Ça aurait même tendance à déborder, comme dirait Bouviol, qui n’est pas présent, d’ailleurs ; se serait-il dégonflé ? Et dans ces histoires, les fistons sont pourvus, disons-le tout net, de bites hors norme. Et je me suis pris à rêver : peut-être que Rocco, mon fils, abritait un gros calibre dans son slip ? Je désirais tant le savoir et chaque jour, je retirais, avec une certaine fébrilité, une feuille du calendrier. Il me tardait d’arriver à ce fameux 13 juillet ; ce jour-là, Rocco fêtait ses dix-huit printemps ! Quelle libération pour moi. Mais, très vite un doute me tarauda l’esprit : je ne me souvenais plus de l’heure laquelle il était né ! L’horreur … Vous imaginez la honte : instiller le stupre et la fornication à Rocco, deux heures moins le quart avant ses dix-huit ans ?
    
    Ernestine sourit de contentement :
    
    — Alors, j’ai attendu le quatorze juillet. Ce matin-là, je suis allé prendre ma douche, en laissant, sciemment, la porte de la salle de bain grande ouverte. Une fois toute nue, je me suis attardée devant le miroir : je désirai à tout prix que mon fils voit sa mère à poil. Je me demandais si j’allais attendre longtemps encore, quand j’ai vu un ombre se glisser près de l’encadrement de la porte. Je me suis tripoté les seins et doigté ma vulve. Au moment où je suis entrée dans la cabine de douche, j’ai frissonné de plaisir : Rocco n’avait d’yeux que pour mon 95 c. Et il est resté là, tapi dans l’ombre, à se beur … Merde, vous voyez ce que vous me faites dire ...
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