1. Délivrance ! ou ...c'est beau la bourgeoisie ! (7)


    Datte: 08/05/2019, Catégories: Trash, Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... bien monter sur la table, s’il te plait ? “
    
    Au prononcé du prénom, Marie-C blêmit. Elle ne s’était pas trompée, et s’attendait presque à la suite, une énorme boule de nausée dans le ventre. La "cape n=°2" monta sur la table, un spot de lumière jaillit sur elle, et elle délaça son manteau de bure. Elle était entièrement nue dessous... Avec effroi, Marie-C reconnut Céline, la petite servante, avec laquelle elle s’était montrée si dure.
    
    “ Oui c’est bien moi, salope ! Regarde ce que tes parents et leurs amis m’ont fait ! “
    
    Au bord de la nausée, Marie-C vit le corps mutilé de la petite jeune femme. Des estafilades rouges très laides, dues à des coups de fouet, sur le ventre, le pubis, le dos, les seins, les fesses.
    
    Il ne faisait pas de doute que Céline avait été fouettée dans les “règles”. Mais les sévices ne s’étaient pas arrêtés là. Elle portait aussi des marques de brûlures, ainsi que des cicatrices dues à des incisions d’armes blanches. Mais le pire peut être, c’est que Céline portait un bandeau sombre, façon pirate, sur l’œil droit !
    
    Marie-C était au bord des larmes, car elle savait , elle "sentait" ce que la jeune servante allait lui raconter.
    
    Cette histoire fut une tragédie. Céline était réellement la maîtresse, et on pourrait dire “la chose”, de Monsieur De Hauteville, le père de Marie-C. Après le scandale dû à Marie-C, elle avait été retirée du service actif dans le manoir, pour intégrer les “douves”… le lieu où M. et Mme De Hauteville organisaient ...
    ... leurs partouzes, en cela rien de bien grave, mais en plus leurs séances de BDSM. Et le couple diabolique,tellement des gens si bien ( comme dirait ma belle-mère) en surface, se révélaient des ordures en ces occasions. Et après ce malheureux incident qui avait vu la déchéance de Céline et le révélation d’une réalité non dicible, l’adultère du maitre de maison avec une simple servante, devant les membres de la famille, cette dernière s’était vue offrir un choix : abandonner son emploi, et sortir ainsi de l’amour de son maître, ou tout accepter !
    
    Elle accepta la seconde option, par amour, par dévotion pour son amant et maître, se disant que tout cela ne serait pas si terrible...elle se trompait lourdement ! M. De Hauteville fit les choses en règle, faisant intervenir, avocat, notaire et expert psychiatre pour assurer ses arrières. Et Céline signa un contrat d’esclavage absolu," en béton", elle devenait la chose, le “sextoy” du couple. Elle avait tout accepté et recevrait tout. Au contraire, c’est elle qui demanderait à chaque fois les artifices de ses supplices. Certes Céline était une soumise dans l’âme et une masochiste, mais là, les choses allèrent très loin, sans qu’elle n’esquisse jamais aucune plainte, ni l’utilisation du fameux “safeword” : Déchéance.
    
    Alors au gré de leurs envies, Les De Hauteville lui infligèrent moult séances sadiques, plus perverses les unes que les autres. Et la pauvre Céline, mi hurlant, mi jouissant, endurait brûlures plus ou moins légères, ...