Evolutions (18) - Histoires de Sexe

Evolutions (18)

... Si je modifie ma manière d’être, c’est parce que j’ai envie d’évoluer. De m’épanouir comme tu le dis. Par conséquent, je ne me force pas à devenir une cochonne, mais je le fais parce que j’aime ça. Mais si tu as changé d’avis, et que tu veux que je redevienne la petite bourgeoise bien sous tous rapport que j’étais avant de te rencontrer, tu n’as qu’un mot à dire et je ferai en sorte de te plaire.

— Non non, moi aussi j’aime la façon dont tu évolues. À partir du moment où tu y prends plaisir bien entendu.

— Dans ce cas, c’est parfait. À cause de mon caractère, je vais évoluer lentement, parce que lorsqu’il faudra que je me surpasse, j’aurai certainement des doutes et des hésitations. Par conséquent, ça te laissera le temps de t’habituer. Et si un jour je te choque, n’hésite pas à me le faire savoir, car je ne voudrais surtout pas te mettre mal à l’aise.

Là, mon petit bout de femme vient de remporter le combat par un ko technique, étant donné que je ne sais plus quoi dire. Par conséquent, je me tais, et nous allons dans la douche italienne pour nous laver.

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Vient ensuite pour nous le moment de nous habiller, et je demande à Alice :

— Ce que je portais vendredi dernier, ça allait ou tu veux que je mette quelque chose de plus classe ?

Elle me répond aussitôt :

— Mais mon amour, je t’aime comme tu es. Par conséquent, il n’est pas question que tu changes quoi que ce soit à tes habitudes, uniquement dans le but de me faire plaisir.

Cette réplique ...

... qu’elle vient de me renvoyer me fait sourire, et je décide de m’habiller de manière cool, en mettant un polo, un pantalon à pinces et des mocassins. Alice pour sa part enfile la robe qu’elle a posée en arrivant sur un dossier de chaise dans la pièce à vivre. Par un pur hasard, elle est de la même teinte écarlate que les sandales que je lui ai offertes, et qu’elle a déjà remises. Son vêtement est cette fois un fourreau qui moule admirablement ses formes, lui arrivant à mi-cuisses et couvrant ses épaules.

Si je suis étonné que mon petit bout de femme n’ait mis aucun sous-vêtement dessous, je ne lui en fais pas la remarque pour ne pas la faire rougir une fois de plus. Pourtant cela lui arrive quand même, lorsqu’une fois que je l’ai aidée à remonter la fermeture éclair qui se trouve dans son dos, je me recule pour admirer le résultat et que je m’exclame :

— Waouh !!

Cependant, ma remarque lui fait plaisir puisqu’elle affiche un petit sourire satisfait, lorsqu’elle attrape ensuite son sac à main noir parfaitement assorti à sa chevelure d’ébène qu’elle a rattachée en queue-de-cheval haute après que nous nous soyons lavés.

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Une fois que nous sommes prêts, nous sortons de la maison, j’active l’alarme étant donné que je ne sais pas à quelle heure nous allons rentrer, et je souris lorsque mon amante fait glisser le bas de son fin vêtement vers le haut, pour pouvoir poser directement ses fesses nues sur le cuir de mon Alpina. J’ignore d’où lui vient cette nouvelle habitude, ...