Evolutions (18) - Histoires de Sexe

Evolutions (18)

... petite moue à laquelle j’ai eu droit une semaine plus tôt, et que je me suis entraîné à imiter dans le miroir de ma salle de bain pendant la semaine qui a suivi, ce qui me vaut un petit sourire satisfait de sa part.

Car il en est ainsi entre nous, mon petit bout de femme n’a rien d’une compagne soumise à ma volonté, mais elle est mon égale, ou je devrais plutôt dire mon complément, et cette situation me convient parfaitement.

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Après qu’Alice a réglé la note, et laissé un bon pourboire en espèces, nous sortons du restaurant. Une fois que nous sommes installés dans mon Alpina, et qu’elle a retroussé sa robe pour que ses fesses nues soient à nouveau en contact avec le cuir du siège, je lui demande :

— Tu veux rentrer, ou tu préfères qu’on aille boire un verre quelque part ?

— On ira traîner dehors lorsqu’on s’ennuiera à la maison. Mais il nous reste tellement de choses à faire, avant que ce soit le cas...

Cette réponse qu’elle m’a faite sans hésiter est pour moi une double promesse. La première étant que notre relation va durer, au point que nous finirons par être tellement habitués l’un à l’autre, qu’il nous faudra aller chercher ailleurs des sujets de distraction. Et la seconde, c’est que nous n’irons pas nous coucher avant d’avoir mélangé nos fluides corporels.

Bien entendu, ces deux perspectives me ravissent, c’est pourquoi je fais un sourire à mon petit bout de femme avant de démarrer la voiture, et de prendre la direction de la villa.

Lorsque ...

... nous sommes arrivés dans l’entrée de la maison, et avant que nous nous soyons déshabillés, Alice après avoir posé son sac à main sur le meuble à chaussures, se jette à mon cou pour m’embrasser fougueusement. Bien entendu, je me laisse faire, à la fois surpris et enchanté par son attitude, tout en en profitant pour la peloter à travers son fin vêtement, qui est le seul rempart à sa nudité.

Nous échangeons des baisers pendant une dizaine de minutes, puis mon amante me dit, de sa voix douce et grave devenue rauque :

— J’ai très envie de me faire enculer à nouveau.

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Alors sans attendre, je la prends par la main pour l’entraîner dans la pièce à vivre tandis qu’elle récupère au passage sa bourse, et une fois que nous y sommes, au lieu d’aller dans la chambre, je me dirige vers la grande table qui mesure deux mètres cinquante de long. Je prends alors Alice par les hanches pour la placer de dos contre le rebord, et je lui dis :

— Retrousse ta robe !

Elle m’obéit immédiatement après avoir posé cette fois son sac à main sur le dossier de la chaise la plus proche, et lorsqu’elle se retrouve nue jusqu’à la taille, je la hisse pour placer ses fesses sur le meuble. Le plateau de ce dernier est en chêne massif, et il doit faire plus du double du poids de mon amante, par conséquent, il n’émet pas le moindre craquement. Ensuite, j’ajoute :

— Tu ne bouges pas de là, je vais chercher la vaseline !

Mon amante me fait alors un petit sourire tout en rougissant légèrement, ...