1. Permission acceptée


    Datte: 07/05/2019, Catégories: fhh, fbi, fplusag, Oral pénétratio, Auteur: Rétro, Source: Revebebe

    ... coup de reins, nous arrachant un gémissement. Elle ne bougea plus, le temps que son vagin prenne la mesure de la hampe qui l’occupait. Elle attira Anne près de nous et lui fit un signe. Je compris très vite où elle voulait en venir. Anne enjamba mon visage et colla sa chatte sur ma bouche ouverte qui accueillit avec joie ce sexe bizarre. Pendant ce temps, elles s’embrassaient et se tripotaient les seins. Les va-et-vient commencèrent alors, tantôt longs, tantôt rapides, mais toujours au plus profond de son vagin qui dégoulinait sur mes couilles. Elles changèrent de place, inversant les rôles, non sans être venues mettre à mal ma résistance avec leurs bouches goulues, aspirant en même temps mes boules durcies et mon gland à vif. Diane était une véritable fontaine, j’eus du mal à avaler tout le jus qui en sortait. Mais le plus surprenant fut le frottement du clitoris d’Anne à la base de ma queue au moment où elle s’est entièrement empalée.
    
    Involontairement, mon bassin s’est soulevé pour aller à la rencontre de cette présence qui me donnait une envie irrésistible de jouir instantanément. Mais je me devais de les attendre, j’avais retenu les leçons des premiers rapports plutôt rapides qui avaient laissé ma voisine en rade. Par ...
    ... bonheur, je sentis Diane, au-dessus de moi, commencer à donner des coups de bassin désordonnés. Je ne les voyais pas, mais je devinais que les deux femmes s’embrassaient et se trituraient les seins violemment. La chatte d’Anne se serrait convulsivement sur ma queue. L’instant fatidique arrivait. Diane me délivra, se coucha près de moi et se masturba comme une folle. Elle jouit dans un cri. Anne se coucha sur moi, m’embrassa fougueusement en frottant sa poitrine sur mon torse. Au moment de jouir, elle serra ma queue dans son fourreau soyeux, son clito enfoncé dans les poils de mon pubis.
    
    L’explosion de ma jouissance fut phénoménale. Mon sperme remonta le long de la hampe et jaillit de mon gland gonflé en saccades. Elle n’accepta qu’une partie des giclées en elle et laissa les dernières, moins violentes, s’écouler doucement entre nos corps, collant nos pubis. Après quelques instants de récupération, nous nous retrouvâmes tous les trois sur le dos, vannés, prêts à nous endormir. Enfin, Anne et moi. Car Diane, friande des choses de l’amour, passa encore un bon quart d’heure à nettoyer nos sexes gluants de sperme avec sa langue. Je remarquai tout de même, avant de fermer les yeux, qu’elle prit grand soin du joli clitoris de sa nouvelle amie. 
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