1. Permission acceptée


    Datte: 07/05/2019, Catégories: fhh, fbi, fplusag, Oral pénétratio, Auteur: Rétro, Source: Revebebe

    Au cours de mon service militaire, j’eus une permission inespérée d’une semaine qui me permit de rentrer enfin de Berlin. C’est là que je découvris avec stupeur que Diane, une voisine avec qui j’avais eu une intense aventure, n’était pas tout à fait celle que je croyais.
    
    Après avoir rapidement salué ma famille, c’est évidemment chez elle que je me rendis, avec le secret espoir de faire l’amour tout de suite, pour vider le trop-plein de ma libido en sommeil depuis trois longs mois. Les vingt-quatre heures de train m’avaient permis d’imaginer des tas de scénarios, les scènes les plus hard, des giclées de sperme époustouflantes, son petit corps tout frêle, ses seins aux tétons énormes, sa chatte brûlante et son anus que j’avais été le premier (disait-elle) à percer.
    
    Habitué de la maison, j’entrai sans frapper. Bien entendu, personne dans la cuisine, mais des rires dans le salon dont la porte était close. Une femme… Marie, la voisine, sans doute ? Non, ce n’était pas elle, je ne reconnaissais pas sa voix rauque. Une autre femme ! Alors là ! Je ne comprenais pas… une invitée pour le café sans doute ? J’hésitai.
    
    — Diane, tu es là ? demandai-je vivement.
    
    Les voix s’éteignirent d’un seul coup.
    
    — Oui, je viens ! Attends-moi, Jean !
    
    Quelques instants plus tard, la porte du salon s’ouvrit et Diane apparut, ébouriffée, en robe de chambre de satin blanc, pieds nus, rouge comme une pivoine.
    
    — Mais que fais-tu là ?
    — Une perm’ surprise. Que se passe-t-il ?
    — Ce n’est ...
    ... qu’une copine de travail, elle a mangé là, nous buvons le café…
    — En robe de chambre ?
    — Euh…
    
    Elle se jeta dans mes bras, ses lèvres cherchèrent les miennes et je ne refusai pas son baiser, depuis le temps que j’attendais cet instant. Lorsque nos langues se mêlèrent, je sentis comme un drôle de goût âcre et salé. Un goût de femme.
    
    — Qu’est-ce qui se passe ?
    — Oh, ce n’est rien !
    — Ta bouche a un drôle de goût !
    — …
    — Dis-moi ce qui se passe, lui demandai-je, légèrement énervé.
    — Bon, je vais t’expliquer.
    
    Elle me raconta alors qu’elle s’était liée d’amitié avec la jeune stagiaire qui lui avait été attribuée ces quinze derniers jours et que voilà… comme elle aimait les femmes, la tentation avait été trop grande. Histoire de connaître des sensations nouvelles !
    
    J’étais complètement abasourdi, ce n’est rein de le dire ! Mais cela ne semblait pas l’émouvoir plus que cela. Parfaitement détendue, elle ouvrit son peignoir sous lequel elle était complètement nue et vint se coller à nouveau contre moi. Je ne pus que sentir ses tétons dardés sur mon torse, à travers ma fine chemisette. Sans même réfléchir, je repris violemment ses lèvres, glissant mes mains sous le peignoir pour empoigner ses douces fesses, puis caresser son buisson touffu. Notre baiser dura longtemps, puis elle se détacha brutalement.
    
    — Alors, et maintenant, tu fais quoi ? Tu reviens ce soir ? Je te préviens, je risque d’être fatiguée ! Je n’ai pas l’intention de ne pas profiter de mon après-midi ...
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