1. Bois ordinaire, le retour


    Datte: 07/05/2019, Catégories: hhh, inconnu, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation facial, Oral hsodo, confession, totalsexe, Gay nature, Auteur: Jd, Source: Revebebe

    ... mon pantalon. Me voilà plié en deux, nu à partir de la taille, le cul tendu et offert, le sexe érigé qui cogne mon ventre. Je suis au comble du bonheur, deux bites se relayant dans ma bouche gourmande. J’espérais un après-midi distrayant ; il se révèle croustillant.
    
    Le nouvel arrivé se penche à mon oreille et me demande :
    
    — Tu te fais baiser ?
    — Oui !
    
    Illico, il s’agenouille ; du moins, c’est ce que j’imagine car je suis occupé à contenter mes deux autres compères. Je sens deux mains écarter mes fesses, que par réflexe je tends encore plus en me mettant sur la pointe des pieds ; une langue vient parcourir ma raie. Quel bonheur !
    
    J’adore cette caresse. Elle est tellement intime. Il s’y connaît, le bougre. Il m’assène une feuille de rose comme j’en ai rarement eues. Sa langue pénètre le trou rendu béant par l’action de ses mains qui écartent mes fesses, mais aussi par l’usage courant d’objets lorsque je ne peux me faire sodomiser. Il crache dans ma raie. Je redouble ma succion de la bite du jeune homme et le grisonnant, n’y tenant plus, lâche sa liqueur en longs jets sur ma joue puis mon épaule en poussant des cris de plaisir qui ont le mérite d’attirer deux voyeurs plantés à l’entrée, la queue en main. L’un des deux, en short, est torse nu.« Tiens ! » me dis-je en reconnaissant l’exhibitionniste juché sur la souche d’arbre. L’autre voyeur est en bermuda.
    
    Ce qui se passe dans ce bouquet d’arbres est exactement ce dont je rêvais en venant dans ce bois. Le temps ...
    ... n’a plus d’importance. Il n’y a plus de place que pour le plaisir. Le gars derrière moi juge qu’il a bien préparé mon cul et je l’entends déchirer l’emballage d’un préservatif qui va rejoindre les autres au sol.
    
    Il pointe son gland à l’orée de mon anus trempé de sa salive et de ma sueur. Trempé comme une chatte féminine avant l’assaut du sexe. Je lèche de bas en haut la queue du jeune. Je lui titille du bout de la langue les couilles, puis reprends en bouche son gland. Alors que je commence à lui faire une gorge profonde, derrière moi l’autre gars commence à pénétrer lentement entre mes fesses. Mon anus est accueillant, mais mon conduit serré. C’est un plus pour le plaisir des hommes qui me baisent et un risque de douleur pour moi. Mais j’ai affaire à un gentleman, sûrement expert dans le domaine car c’est très lentement qu’il me pénètre. Rassuré, j’enfile toute la queue du jeune dans ma bouche puis retire la tête pour la libérer. Un long trait de salive accompagne le mouvement.
    
    Ça y est : mon baiseur a rempli mon antre. Il s’arrête. Il m’a saisi les seins. Puis, tout doucement, il commence un va-et-vient. Il est doux. Prévenant. C’est bon. Je vais prendre un pied énorme, je le sens. La pipe que j’assène se retrouve alors rythmée par les mouvements de la sodomie. C’est un pur bonheur.
    
    Combien parmi vous, lecteurs de cette histoire, ont déjà ressenti un tel bonheur ? Le plaisir qu’un homme peut prendre en se faisant sodomiser est insoupçonné de ceux qui n’ont jamais ...
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