Bois ordinaire, le retour
Datte: 07/05/2019,
Catégories:
hhh,
inconnu,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
facial,
Oral
hsodo,
confession,
totalsexe,
Gay
nature,
Auteur: Jd, Source: Revebebe
Résumé : je vous avais laissés, chers lecteurs, dans le bois de M. dans les Yvelines, un beau jour de juin alors que je venais de passer un moment à contenter les désirs charnels de deux hommes. Je m’étais aperçu qu’un voyeur nous avait observés pendant une grande partie de nos ébats sur le tapis d’herbe rase au milieu d’une clairière de ronces et d’herbes folles. Laissant mes deux comparses récupérer de leur plaisir que je qualifierais d’abondant, j’avais repris mon chemin dans l’espoir de vivre à nouveau d’intenses minutes de plaisir. Je m’étais alors aperçu que notre voyeur attendait. Je l’avais alors suivi dans le bois. Un homme jeune, grand, athlétique, en jean et tee-shirt.
Suivant mon voyeur à quelque distance, je m’enfonce dans le bois. Le chemin n’est pas des plus aisés, mais cette épaisseur de végétation a le mérite de nous protéger de la chaleur. De temps à autre l’homme se retourne, s’assurant que je le suis. Je ne sais pas où il veut nous mener. Je n’ai pas l’ombre d’une inquiétude. Les hommes qui viennent là ne se veulent pas de mal.A priori, ce n’est que du bien qu’ils veulent à autrui. Certes, nous ne sommes jamais à l’abri de quelque malade, mais l’excitation de l’épisode vécu précédemment et celle résultant de cette avancée au milieu des arbres et des arbustes me font écarter toute méfiance.
Devant moi, l’homme avance. Il semble sûr de son chemin qui traverse une espèce de petite tranchée peu profonde, tapissée de feuilles sèches, avant de remonter sur ...
... une butte assez raide. Suivent quelques mètres de terrain plat, puis une descente en zigzagant entre les arbres et en se tenant aux branches. Je ne sais pas où l’on va atterrir, mais c’est de plus en plus profond et isolé.
Avançant précautionneusement à cause des ronces et des branches cassées qui jonchent le sol, je suis obligé de baisser la tête et perds de vue mon guide. Lorsque je la relève, il n’est plus là. Je m’arrête. Tout autour de moi, des arbres. Je n’entends que les oiseaux et en fond sonore les véhicules sur la route à quatre voies qui passe à quelques dizaines de mètres derrière les arbres.
Je m’aperçois alors d’un mouvement derrière un tronc. Me penchant, je vois que l’homme s’est réfugié là. En même temps, je me rends compte qu’il agite une main devant lui. Est-ce un mouvement discret pour attirer mon attention ou bien le résultat d’une autre sorte de mouvement ? En m’approchant je n’ai plus aucun doute : il a libéré son sexe et le caresse. Il m’attend. Excité, je m’approche. Il me sourit, et sans qu’un seul mot ne soit échangé, me voilà me courbant pour prendre en bouche son sexe qui se révèle long, épais et déjà bien érigé. Je ne pouvais pas attendre moins d’un jeune homme, en pleine forme visiblement.
Dans ce genre de lieu il est inutile de passer par des présentations. On va droit à l’essentielle cause de nos présences ici.
Il me pose une main sur la nuque pour m’encourager. D’une main, je saisis sa bite à la base, tire à fond sur la peau pour ...