Bois ordinaire, le retour
Datte: 07/05/2019,
Catégories:
hhh,
inconnu,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
facial,
Oral
hsodo,
confession,
totalsexe,
Gay
nature,
Auteur: Jd, Source: Revebebe
... recherche de son bonheur.
Je redescends précautionneusement vers la tranchée et me dirige vers la baraque en ruines. En m’approchant, j’entends des voix : je ne m’étais pas trompé. Je débouche à quelques mètres et découvre deux hommes, debout, un adossé à un mur, l’autre un mètre en face de lui. Ils discutent. Chacun a une main dans son propre pantalon, occupée à quelque manipulation que j’imagine ciblée et caressante. Attirés par ma présence, ils tournent la tête vers moi un instant, puis reprennent leur position et leur conversation, la main toujours cachée. Je ne les intéresse pas. Ils sont certainement occupés à refaire le monde ou à corriger la théorie de la relativité. Quoique… Je rebrousse chemin. Je retourne dans l’allée au fond de la tranchée. Au loin, je vois un gars assis sur une souche d’arbre. Il attend lui aussi. Il me semble qu’il est en short. Par contre, je suis sûr qu’il est torse nu. Il s’exhibe.
Une idée me vient en tête. Le petit bosquet d’arbres que j’ai vu au milieu de la clairière lorsque j’étais sur la butte me fait imaginer un plan qui m’excite d’emblée. Certes, je n’avais pas besoin de ça, mais ce surcroît d’érection dans mon pantalon moulant attise mes pensées les plus osées.
Il faut d’abord retrouver le bon chemin dans ce dédale de végétation folle. Il est frustrant de voir le bouquet d’arbres devant lequel passent au ralenti de temps en temps des hommes, et de ne pas trouver le moyen de m’y rendre. Le jeu de piste devient prise de ...
... tête et je commence à m’agacer lorsque je repère un très étroit passage. Il semble aller dans la bonne direction ; je le prends. J’avance lentement car il est envahi de part et d’autre de ronces qui risquent d’accrocher mon pantalon. Finalement, après quelques dizaines de mètres, je vois que je suis le bon chemin. Sur ma droite, je repère, en retrait du chemin, un espace que je pourrais qualifier d’aménagé. La végétation est pelée, et visiblement l’endroit sert à certaines activités… Je continue et j’arrive enfin devant le bosquet. Le dégagement ménagé devant témoigne de la fréquentation du lieu. Je m’avance. Comme je l’espérais, il y a un passage. Je n’y vois personne. Je pénètre entre les branches et les troncs relativement fins des arbres. À un mètre, seulement visible de l’espace devant le bouquet d’arbres, se trouve une surface visiblement très fréquentée. Elle est dégagée sur quelques mètres carrés. Cernée d’arbres sous lesquels la présence de kleenex et d’emballages ouverts de préservatifs témoignent que l’endroit doit être parfois chaud…
Il y fait bon, à l’ombre. Je me poste là, espérant que l’isolement du lieu attire le chaland.
J’ai été certainement épié dans mon cheminement vers l’endroit car je ne tarde pas à apercevoir, à travers les feuilles et les branches, un homme qui ralentit le pas. Il regarde vers l’entrée du bouquet d’arbres. Il est entre deux âges, habillé d’un jean avec un tee-shirt et, chose étonnante, d’un blouson qui doit être difficilement ...