1. Un chien qui s'ignore 12


    Datte: 07/05/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature, Auteur: perver38, Source: xHamster

    ... !
    
    -Génial
    
    -Attends ce n’est pas tout. La matière en plexiglas en plus de couper les odeurs et la lumière du jour coupe aussi tous les sons. Ton chien a beau grogner ou griffer les parois s’il a trop faim, tu n’entendras rien !
    
    -Là tu m’as convaincue. C’est vrai que mon mec sait que je suis mariée, mais de là à lui expliquer ce qu’il y a dans cette drôle de boite…
    
    Elles éclatent de rire en se rejetant en arrière, se resservent un verre et continuent :
    
    - Attends ! Le top du top ! Le système est équipé d’une connexion !
    
    - Et alors ?
    
    - Tu peux le joindre sur ton portable. Tu es sur la plage, tu appelles ton Rex que finalement tu rentreras dans 3 trois jours, tu peux l’entendre geindre de tristesse. Enfin si tu ne lui as pas mis sa muselière !
    
    Nouvel éclat de rire.
    
    - Hum ça me donne des idées ça !
    
    - Dis moi voir si c’est la même que moi !
    
    - Évidemment que c’est la même, je te connais ma cochonne ! Je vais appeler mon petit Rex, dès que la soirée va devenir chaude. Et ce soir, avec la petite robe en cuir que mon Rex m’a payée si gentiment, mon mec va n’exploser le matelas en plus de mon cul. Mon Rex va être branché en direct, sa petite queue va être bleue de douleur ! Et avec mon mec, ça peut durer très longtemps !
    
    - Ah voilà ! Je préfère te voir comme ça ! ‘
    
    Mme Laurence se releva du canapé, rajusta son tailleur sur ses courbes délicieuses et leva tout à coup la voix, ce qui me fit relever la tête :
    
    ‘Allé Rex, je dois partir.
    
    ‘J’ai ...
    ... d’autres chiens à fouetter’
    
    Les deux femmes se tenaient par les bras riant et s’embrassant.
    
    ‘Viens remercier ta maitresse de te garder à la maison !
    
    Je me jetais aux pieds de maitresse femme et léchais vigoureusement ses talons et ses semelles.
    
    J’entendis ma femme ou plutôt ma maitresse s’exclamer :’ C’est prodigieux’.
    
    Heureux, j’en profitais pour lécher sa cheville. Mais déjà ma maitresse femme avait repris les choses en main. Elle tirait la laisse et m’entrainait vers le fameux placard.
    
    Je découvris une boite opaque, sur roulettes, équipée d’un tiroir bas et d’un sas à l’avant de la niche en elle-même. Un coup d’escarpin dans les couilles pendantes me rappela à l’ordre et je reculai pour rentrer à reculons dans cette boite exigüe. Plusieurs coups de pieds furent nécessaires pour me faire reculer. Mais je paniquais complètement à voir les dimensions exigüe de ma nouvelle cage : l’autre en acier était petite mais pas à ce point. Les parois en plexiglas étaient épaisses de plusieurs centimètres, j’avais peur de finir étouffé dans cette boite complètement étanche. Je me rappelai les paroles de Mme Laurence et je gémissais.
    
    Enfin pour moi je criais ‘non, non’ mais mon collier m’étranglait et une plainte aigue et ridicule sortait de ma gorge. Les deux femmes me lançaient maintenant des coups violents de leurs chaussures. La chaine de ma laisse fut ôtée et Mme Laurence s’en servit comme d’un fouet sur le dos.
    
    ‘Tu vois, son éducation est encore trop récente’, ...