1. Un chien qui s'ignore 12


    Datte: 07/05/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature, Auteur: perver38, Source: xHamster

    Je ne voyais pas la route et avait mal au cœur, trimballé de tous côtés
    
    Elle devait me ramener chez …ma femme.
    
    Cela faisait bizarre de me dire ça. Chez moi. Ou plutôt mon ancien chez moi.
    
    Maintenant que Mme Laurence m’avait passé cet équipement et m’avait bien fait comprendre que c’était pour le long terme, j’imaginais bien que je n’allais pas reprendre ma vie d’avant auprès de ma femme.
    
    Mais l’essentiel était que je m’éloigne de cette terrible Nolwenn.
    
    La nuit tombait quand je fus sorti du coffre par la laisse. J’étais toujours nu et je grelottais. Je suivais à 4 pattes Mme Laurence, n’osant surtout pas essayant de me tenir debout. Mes couilles ballotaient de gauche et de droite et tapaient dans mes cuisses, mon collier trop à l’étroit me faisait haleter.
    
    Elle sonna.
    
    J’attendais, fébrile, retrouvant mon foyer, mais effrayé par ce m’attendait.
    
    ‘Assis’ m’ordonna Mme Laurence.
    
    Sans réfléchir, j’obéis.
    
    La porte s’ouvrit devant ma femme. Par habitude, je ne levais pas la tête, et ne vit d’elle que ses jambes.
    
    Un éclat de rire m’accueillit. Ma position la rendait hilare : la laisse, le collier, la petite bite en l’air et les couilles reposant sur le sol.
    
    ‘Eh bien joli travail Laurence ! Ce que tu as fait est merveilleux ! Entre donc, tu vas tout me raconter’
    
    D’un tiraillement sec sur ma laisse, je suivi, étranglé. Elle ne m’avait pas adressé la parole. Je les entendais parler de moi ou plutôt de mon dressage. Mme Laurence m’avait fait ...
    ... tourner sur moi-même pour montrer uniquement mon équipement dernier cri, très pratique. Elle avait cédé la laisse à ma femme qui s’était amusé à me faire marcher de long en large à travers le salon. Mes couilles les faisaient joyeusement rire. J’avais l’envie instinctive de me jeter sur les pieds de ma femme et les lécher pour montrer mon affection et espérer ma rédemption. Mais je me retenais. Je craignais sa réaction.
    
    Mme Laurence conseilla à ma femme de me mettre dans le jardin car je n’avais pas fait mes besoins depuis le matin.
    
    Elle lui indiqua aussi la marque de boulettes que je mangeais désormais. J’entendis un dernier éclat de rire de ma femme avant que d’un coup de chaussure dans les fesses, elle me signifia de presser le pas et referma la porte fenêtre du jardin derrière moi.
    
    Je retrouvais le jardin ou tout avait commencé.
    
    Combien de temps s’était écoulé ? Qu’allais-je devenir ?
    
    Avec le froid, une envie subite de pisser me prit. Depuis des jours que je pissais dans ma cage, la seule question que je me posais était ou j’allais pouvoir faire…
    
    Je choisis un arbre. Le jet d’urine dévié par le capuchon grillagé, m’aspergeât le torse et les cuisses. Je compris tout à coup pourquoi les chiens levaient la patte, j’en fis autant. Le jet aspergeât l’arbre. Des applaudissements me firent me retourner. Ma femme et Mme Laurence, tasses de thé à la main me félicitaient à travers la porte fenêtre du salon, hilares de mon implication toujours plus forte à devenir un ...
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