1. Anne fatale


    Datte: 06/05/2019, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... tenté de le ramasser et de l'en chausser tel le prince charmant avec sa Cendrillon. Elle dut percevoir la tentation de mon geste car elle sourit. Elle ponctuât cela alors du propos amusé : « Veux-tu le caresser ? » Encore aujourd'hui je suis étonné de ma réaction immédiate. Je bondis c'est peu de dire en cet instant vers elle. Elle semblât ne point s'en étonner. L'avait-elle anticipé ? Elle m'abandonna avec un grand naturel ce pied que ma main à son tour pétrissait. Il était comme je rêvais doux et chaud. Part vivante de ma belle immortelle.
    
    Je n'avais cure qu'on me vit dans cette position singulière, ridicule. Grotesque devait paraître cet homme en amant zélé en train de caresser le pied de sa belle. Accroupi et fermant les yeux je me transportais tout entier et uniment en ce simple geste. Je faisais corps avec cette humble part d'elle-même. Je n’espérais pas autrement atteindre à cet espoir d'union et de fusion avec elle. Cet abandon, ce privilège seraient peut-être de courte durée. En effet elle signifia bientôt la fin de la partie en me repoussant du bout du pied. Je tombais ainsi cul à terre à la renverse dans un concert de rires.
    
    J'en pris bien l’effet comique. La femelle un moment se débarrasse du coup du mâle devenu trop importun. Elle aspire à reprendre sa liberté, son inexpugnabilité. Je demeurais assez longtemps assis sur le sable dessous elle. Elle goûtât mon humeur et mon bon esprit. Je remontais peut-être dans son estime. J'étais un valeureux compagnon. A ...
    ... l'égard des passants je ne comptais nullement abandonner ma position ridicule en me relevant. Nous continuâmes de rire. Elle remit son pied dans son escarpin. Me fixant tout droit au fond des yeux, elle écarta alors ostensiblement ses cuisses.
    
    J'étais juste à moins d'un mètre. J'avais tout le loisir de savourer avec netteté cette entrecuisse. Nul détail de la culotte ne pouvait m'échapper. Je pouvais considérer que celle-ci m’appartenait ou que du moins en avais-je droit à la vision comme celle de Dieu pour le Saint. Appliqué à contempler, je devins plus grave, plus sérieux, mon sourire s'éteignant à mesure. Le silence alentour reprenait m'introduisant à une autre concentration et un autre voyage. Je rêvais de davantage. Que j'obtins ce que recelait la culotte. Je craignais qu'on trahit cette promesse. Qu'il n'y eût plus de suite.
    
    Elle referma ses cuisses consultant sa montre. Le stage reprenait dans un quart d'heure. Nous fîmes le chemin du retour en silence. Je ne savais à quoi elle pensait. Regrettait-elle ? Quant à moi, je ne pouvais concevoir qu'on en put rester là. Timide je marchais à quelques pas derrière elle. Elle me paraissait plus belle et inaccessible que jamais. Peut-être demain refuserait-elle à ce que je l'accompagne. En effet à la sortie du stage et tout au début du lendemain, elle ne m’adressât point la parole. Je la regardais en vain. Elle semblait m'avoir oublié, relégué au rang déjà d'inconnu.
    
    Le midi je l'attendis à la sortie. Elle avançât vers ...
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