1. Anne fatale


    Datte: 06/05/2019, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... qu’elle voulait passer à autre chose et tourner la page. Elle avait vraisemblablement relégué notre ancien ami dans un juste état de néant. J'encourais de l'y suivre si je persistais à ressusciter son triste personnage. Elle ruinait en un instant mon projet de soutenir la conversation par cet unique sujet. Piteux à présent je regardais mes pieds. Le silence empli des cris d'oiseau reprenait le dessus. Tout conspirait à la méchante ironie. Assurément en déduirait-elle que j'étais un triste sire, un fâcheux. Elle recruterait un autre peut-être pour les derniers jours.
    
    Levant la tête je vis qu'elle avait entre temps dévoré son sandwiche. Elle se frottait nonchalamment les mains l'une contre l'autre. Manifestement elle ne me tenait rigueur de mon mauvais départ. J'ose dire qu'il lui était insignifiant que je ne fus médiocre ou pas. Je n'existais pas. J'étais le mannequin, le faire-valoir. Elle esquissait même un sourire vague adressée à je ne sais qui. Il est vrai que le soleil était doux, agréable. Il était naturel de s'y complaire et d'être au diapason. J'admirais cette faculté de la femme à vivre dans le présent et de zapper les importuns et les chagrins.
    
    Noter que les fois précédentes je demeurais toujours de biais vis-à-vis d'elle laissant à notre ancien ami d'être en face pour déployer le jeu de leur séduction. J'étais cette fois en semblable position, je découvrais notamment un aspect de ses jambes remarquables et que celles-ci décroisées pouvaient vous livrer ...
    ... impunément au regard, l'entrecuisse. Pour le dire rapidement on distinguait nettement la culotte qu'elle portait ce jour-là. Le copain m’avait raconté maintes fois qu’elle jouait de cela. Qu'elle savait susciter en vous une érection irrépressible. Je pus ce jour-là vérifier ce phénomène.
    
    J'avais un mal fou à détacher mon regard de ce spectacle. Son sourire maintenant illustrait mon embarras voire mon désarroi. Elle m'allumait sans fard. Sa culotte était blanche. On percevait dedans une chatte lourde sûrement sensuelle. C'était limite obscène. J'étais choqué qu'elle ne fut pas animée de l’élémentaire pudeur qui lui eût intimé de refermer sitôt ses cuisses. Au contraire elle demeurait ainsi me toisant du regard. Ses paroles alors ajoutèrent à la confusion m'expliquant : « Que notre ancien ami n'était qu'un vicieux, un porc. Que cela la choquait. »
    
    J'étais ébahi d'une telle mauvaise foi et effronterie. La garce, c' était elle. Lui n'avait été qu'une victime, une dupe. Elle l'avait attiré dans ses filets tel l'araignée pour le mieux dévorer ensuite. Sûrement encourrais-je le même sort. Il m'était temps encore de fuir. Vous imaginez cependant que je demeurais là fasciné, tétanisé. En pierre changé par une jolie méduse. Elle aimait vérifier ce pouvoir, cette puissance sur tous les mâles. Peu eurent la présence de s'arracher et de fuir en un instant. Une indicible curiosité de la suite leur soufflant de rester et de jouer leur risque.
    
    Par contenance j’avais enfin décidé de ...
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