Paris, un hiver
Datte: 06/05/2019,
Catégories:
hhh,
hbi,
jeunes,
copains,
grossexe,
facial,
hsodo,
init,
Gay
Auteur: Arthur H, Source: Revebebe
... Il me le signifia par une caresse sur la joue. Je m’arrêtai, son sexe toujours en bouche compte tenu de sa position, et réfléchis. Et comme s’il avait deviné ma pensée, il se pencha vers moi.
— Je suis clean, tu peux y aller si tu veux, mais je ne te force en rien…
Je souris, et le repris en bouche, le suçant comme si ma vie en dépendait. Patrick me léchait maintenant l’intérieur des cuisses, les bourses, et s’attardait sur l’ouverture de mes fesses, décuplant mon plaisir. Je glissai deux doigts entre celles de Camille qui éjacula à grands jets dans ma bouche, me tenant la tête avec les mains, enfonçant son sexe le plus loin possible.
Il y eut un grand moment de silence pendant lequel il resta dans la même position, puis il se retira lentement, inspirant largement et silencieusement. En souriant, il reprit ses esprits, me caressa la joue de nouveau, puis se dirigea vers l’endroit où devait se trouver la salle de bain. Jim se leva et, sa lourde verge toujours engoncée dans son pantalon, il le suivit. On les entendit parler, rire… Un sentiment bizarre s’empara de moi jusqu’à ce que je voie Jim revenir seul. On entendit le bruit de la douche. Malgré les caresses de Patrick, je débandais peu à peu. Et je me rendis compte que j’avais toujours le sperme de Camille dans la bouche. Je m’excusai d’un geste envers celui qui me suçait encore, et filai à la salle de bain pour cracher et me rincer la bouche. Malgré tout, je ne le connaissais pas, ce type, on ne savait ...
... jamais.
Devant le lavabo, je me regardai une minute avant de cracher. Jamais je ne m’étais vu dans cet état-là. Les cheveux ébouriffés, le torse rouge d’avoir été agacé de caresses, la queue flasque, enduite de salive. Je crachai le sperme de Camille qui prenait sa douche à quelques mètres. Il me regarda.
— Tu sais que tu suces comme un dieu, jamais je n’avais joui comme ça.
— Merci, tu n’es pas mal non plus, tu sais…
— C’est pour Jim que tu en pinces, non ?
Je ne répondis pas. Sa tête trempée passa par l’ouverture du rideau.
— On se connaît depuis pas mal de temps, lui et moi. Je suis même sorti avec lui quelques temps. On s’est quitté il y a quelques mois parce que… (Il rit doucement et s’appuya contre le mur de la douche) parce que sa queue était trop grosse. Il me faisait mal à chaque fois, et c’était devenu insupportable, personne ne prenait son pied, sauf à la branlette, mais bon… Et puis, c’était le mec de mes fantasmes, mais ça n’allait pas plus loin. Une fois découvert son corps, je n’y ai plus trouvé grand chose… Enfin, tout ça pour dire qu’il me parle souvent de toi, et qu’il garde un souvenir ému de ce que vous avez vécu tous les deux l’année dernière. Mais vraiment, il n’avait pas l’air de prendre ça juste pour un plan. Tu en penses quoi, toi ?
— J’en pense que c’était un super moment, mais que c’était court. Et j’en pense aussi que je n’ai pas encore joui. Tu m’excuses ?
— Je t’en prie.
Je partis, le laissant se rincer seul, et repris le chemin du salon. ...