1. Paris, un hiver


    Datte: 06/05/2019, Catégories: hhh, hbi, jeunes, copains, grossexe, facial, hsodo, init, Gay Auteur: Arthur H, Source: Revebebe

    ... de Jim. Marc plongea sa tête dans les poils entre ses pectoraux et descendit progressivement. À chaque centimètre marqué, la température montait, les mains se portaient à l’entrejambe, Camille se caressait ouvertement. Je regardai en direction de Jim, et je compris que je n’aurais pas dû. Il ne bougeait pas. Mais son sexe avait glissé dans une des jambes de son pantalon et gonflait ostensiblement, déformant le tissu. Et étant donné la taille de son engin…
    
    Camille s’était rapproché sans que je le remarque. Il me regarda, attira mon visage au sien, et m’embrassa. Incrédule, je le laissai faire, puis, plus actif, j’allai chercher sa langue, je goûtais à ses lèvres charnues. De temps en temps, il s’éloignait un peu, me regardait et souriait, puis m’embrassait de nouveau, avec plus de douceur encore, d’égards, comme si j’étais une figurine de porcelaine qu’il fallait à tout prix ne pas briser. Ses mains d’orfèvres aux longs doigts fins allaient le long de mon corps, sans violer la barrière de tissu, alors que les miennes restaient contre le coussin du canapé. Il n’attendit pas que j’en prenne l’initiative : il prit une de mes mains et la posa sur sa poitrine. Il était peu musclé, mais joliment dessiné tout de même, et je prenais plaisir à caresser ce torse offert, tout en restant sur le t-shirt.
    
    Mon sexe raide commençait à se sentir à l’étroit, il le comprit en passant la main sur mon entrejambe, ce qui me fit tressaillir de plaisir. Je repris une gorgée de bière et, sans ...
    ... que je puisse vraiment comprendre comment, il était en train de me sucer. Je ne peux pas me vanter d’avoir un sexe énorme, mais sa longueur et sa largeur sont tout à fait respectables, à vrai dire, malgré le nombre de personnes qui m’avaient prodigué cette caresse, aucune n’avait pu le prendre totalement en bouche. C’est ce qu’il fit, en m’arrachant un gémissement de plaisir. Je restai bouche bée devant le spectacle de ma queue dans sa bouche, qui allait et venait, laissant apparaître un morceau de chair luisant, rosé, plein de désir. Doucement, sans cesser de me sucer, il m’enleva mon haut, me caressa le torse, joua avec mes tétons. Il n’en fallut pas plus pour me rendre dingue.
    
    Je l’arrêtai juste avant de jouir. Il se redressa, me sourit, m’embrassa, et vint silencieusement porter son sexe à ma bouche, que je pris avidement comme la dernière chose qui eut pu m’arriver. Je le suçai frénétiquement, et recommençai à bander quand je sentis deux mains se poser sur mes cuisses et une langue venir titiller mes testicules. Patrick, le DJ, torse nu, sa puissante et lourde musculature en mouvement, m’envoyait à petits coups de langue des décharges électriques monstrueuses. Il tenta de prendre la totalité de mon membre en bouche mais n’y parvint pas, et se contenta de me lécher le gland et de masser vigoureusement ma verge. Camille était plutôt bien monté, et à ce stade d’excitation, sa queue avait encore gonflé, la jouissance arrivait, silencieuse, sans un gémissement, sans un cri. ...
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