Parole de scout ! - Histoires de Sexe

Parole de scout !

... Ouf…

— Pour la petite marche de demain, ça tient toujours ? J’amènerai une amie, si ça ne vous dérange pas. Y ai supposé faire beau.

Roulement de tonnerre.

— Quoi ? fis-je en me bouchant l’autre oreille avec un doigt.
— La marche en pleine nature aux chutes, demain, Paul. J’emmène ma copine, OK ?

Une copine en balade nues fesses, wow !

— Pas de problème.

Marie ferma soudainement les genoux et si fort près de mon menton que ça fit… TOC ! On aurait dit un piège à ours qui se déclenche. Si j’avais eu la tête là, je serais mort. Puis elle cria de plaisir et gémit, sans doute en plein orgasme. Ma bite frémit de jalousie.

— C’est quoi ? Ma nièce va bien, Paul ?
— Hum, eh oui, oui… Ça va !
— Parfait, je vous laisse, amusez-vous bien, mais soyez prudents, si y a quéq’ chose, appelez-moi. Bye !
— Bye !

Je jetai l’appareil sur le lit pendant que Marie s’agitait de plus en plus, une pure merveille. Elle remua tellement du bassin que mon pénis sortit du vagin. Sans quitter son visage des yeux, tellement je la trouvais belle dans cet état, je repris ma bite et poussai pour la remettre en elle, mais…

— Outch ! fit-elle en grimaçant, le souffle court, ouvrant soudainement les yeux. Paul, c’est encore mon cul !
—Shit, désolé ! fis-je en la replaçant au bon endroit, un petit peu plus haut et la pénétrant à nouveau.
— Seigneur ! Paul, on dirait un ado, ou t’as vraiment envie de me la mettre là ? Hum, mon petit cochon !

Encore cet air et cette voix de ...

... petitenonote. Wow !

— Je m’excuse, ça t’a pas empêchée d’en arriver à l’ultime conclusion, j’espère ?

Gros sourire les yeux toujours fermés.

— L’ultime conclusion… Ouais, mais c’est pas grave, continue, c’est le fun… À la bonne place, hum.

Voulant aider, je rajoutai en me remettant à l’ouvrage tout en commençant à trouver ses jambes lourdes sur mes épaules.

— Peut-être que des petits becs c’est coudes, ça t’aiderait ?

Gros fou rire.

Des branches fouettaient la roulotte.

— Paul… Tabarouette ! dit-elle en se lâchant le pubis et me regardant l’air découragé en se caressant les seins doucement. Dé petit bec c’est coude… c’est cuuute.
— Ah !
— Ça fait longtemps qu’un gars m’a pas fait rire comme toi. Ça fait du bien. Merci, Paul, fit-elle mielleuse en repliant les jambes pour poser ses pieds sur mon torse et commencer à me chatouiller les mamelons avec ses gros orteils.

Mes mamelons l’obsédaient, pas de doute. Mais ça me distrayait un peu de ma mission.

— Pis c’est l’fun de baiser avec un gars qui ne se prend pas au sérieux ! rajouta-t-elle les yeux cochons.
— Of ! fis-je modestement une main en l’air comme pour saluer un Amérindien.

Gros craquement pas loin, un arbre tomba.

— Hiii ! fit-elle. Ce n’était pas loin, ça !

Et là, on entendit Homer Simpson crier : « Marge, mes empreintes de fesses ont disparu… Marge, mes empreintes de fesses ont disparu… Marge, mes empreintes de fes… »

— C’est le mien, fis-je en fouillant dans les poches de mon ...