1. Alicia et son papa (7)


    Datte: 05/05/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    ... aujourd’hui. Demain, nous verrons comment corriger tes nombreux défauts.
    
    Je rejoignis donc Marine, ma salope de chef de service, qui me toisa avec dédain avant de m’envoyer regarnir un rayon. J’avais mal partout, la présence du plug dans mon fondement me gênait terriblement, pourtant je fis de mon mieux jusqu’à mon départ, veillant à ne pas m’attirer de nouvelles foudres. Le retour à bicyclette fut laborieux tant j’étais épuisée. Je rangeai mon vélo dans le garage et oubliai de me déshabiller dans l’entrée.
    
    — Alors, imbécile, tu oublies déjà les règles de la maison ? tonna mon père.
    
    — Oups, pardon papa, enfin… Monsieur. Je n’en peux plus…
    
    Néanmoins, je me déshabillai rapidement ; papa ne parut pas étonné de voir les marques rougeâtres qui décoraient mon corps des cuisses aux épaules. Une fois nue, je me mis à quatre pattes et m’approchai maladroitement du fauteuil occupé par mon père.
    
    C’est le moment d’être convaincante, quitte à ravaler le peu de fierté qui me reste. Avec ce que j’ai subi toute la journée, je pense que j’ai touché le fond ; pourtant j’ai encore honte en imaginant ce que je vais devoir faire maintenant. Si je peux éviter de me faire encore punir, je suis prête à m’avilir encore un peu. Déjà, j’ai intérêt à m’appliquer, ils disent tous que je ne suis pas douée pour tailler des pipes.
    
    — Bonsoir, Monsieur. Avez-vous envie d’une pipe ? De mon cul ?
    
    — C’est bien essayé, Ali. Mais tu vas avoir droit à autre chose. Monsieur Rodriguez m’a ...
    ... détaillé ta journée de travail. Tu n’as quasiment rien foutu dans les rayons, par contre tu as dragué éhontément ses deux gardes du corps et tu t’es donnée à eux.
    
    — Mais…
    
    — Silence, idiote. Il semble que, d’après monsieur Rodriguez, tu aies joui plusieurs fois, ce malgré mon interdiction formelle. C’est vrai ? Ne me mens pas, surtout.
    
    — Oui, mais…
    
    — Deux points : tu oublies souvent le « Monsieur », et tu as désobéi à un ordre direct.
    
    Il se leva et alla ouvrir le placard dans l’entrée. De l’étagère la plus haute il sortit un ustensile qu’il me montra : un manche en bois d’une vingtaine de centimètres servait de poignée, prolongé par une large et épaisse bande de cuir noir longue d’une cinquantaine de centimètres. Agenouillée juste devant mon père, je commençai vraiment à avoir peur. Je n’avais jamais vu cet objet, mais je me doutais de son utilité : punir les petites effrontées comme moi. Papa me montra son fauteuil et ordonna :
    
    — Allez, agenouille-toi là, le torse sur le dossier et les mains sur les côtés. Tu vas recevoir vingt coups de paddle pour avoir joui sans autorisation, et dix de plus pour t’être montrée impolie. Je ne veux pas que tu cries ni que tu bouges, sinon je reprends à zéro. Tu as compris ?
    
    — Oui Monsieur.
    
    Au premier coup, je sursautai et retins de justesse un cri. Pourtant, la douleur était moins vive qu’avec une ceinture. La largeur du paddle agrandissait la zone d’impact et en diminuait la puissance. Pourtant, au fur et à mesure, je dus ...