1. Alicia et son papa (7)


    Datte: 05/05/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    Il était déjà 14 heures quand, suivie par les deux gardes, je tapai timidement à la porte du bureau de monsieur Rodriguez. J’étais complètement nue, mais douchée de frais et peignée avec les cheveux ramenés en chignon bien serré sur la nuque. Une voix rogue tonna :
    
    — Entrez ! Ah, c’est toi ! Approche, et laisse tes mains dans ton dos, je veux pouvoir juger de la marchandise. Alors, les gars, comment vous la trouvez ?
    
    — À peine passable, patron. Pas beaucoup de poitrine, suce mal, cul et chatte trop serrés. Heureusement, elle a une âme de pute, elle aime se faire baiser par tous les trous.
    
    — Vous préconisez quoi ?
    
    — Pour la poitrine, je sais pas trop, j’aime pas le silicone. Pour ses trous, ils vont s’élargir vite, surtout si on lui fait porter un double gode en permanence. Et puis il faut qu’elle suce plus de bites, au moins une vingtaine tous les jours.
    
    — Je vais en discuter avec Arnaud. Pendant ce temps, dérouillez-la pour lui apprendre à vivre. Allez-y franco, mais ne la blessez pas. À la ceinture, des cuisses au torse, devant et derrière. Vous l’attachez et vous la bâillonnez, bien entendu. Pas besoin qu’elle fasse peur aux clients.
    
    C’est pas vrai, ils parlent de moi comme si je n’étais pas là, ces trois salauds. Et en plus ils veulent me faire des trucs pas catho. Bien sûr je n’ai pas voix au chapitre, encore une fois ; je dois accepter et subir. Pauvre de moi, je vais charger à nouveau. Alors que je suis crevée, bonne à aller me reposer. Et ce soir, ...
    ... papa va encore abuser de moi plusieurs fois, bien sûr.
    
    Babacar lia soigneusement mes poignets devant moi avec une épaisse corde de coton, puis il me bâillonna avec une grosse balle en caoutchouc rouge qui distendait ma bouche.
    
    — Ne la recrache pas, sinon je la fais tenir avec du ruban adhésif, compris ?
    
    Je hochai la tête ; pas question de le mettre en colère alors qu’il s’apprêtait à me battre. Toujours dans le bureau du patron, ils attachèrent mes poignets à une corde passée dans un solide anneau ferraillé dans le plafond. En un instant, je me retrouvai sur la pointe des pieds. Les deux hommes dégagèrent en même temps la ceinture de leur pantalon et m’entourèrent. Je n’en menais pas large, connaissant trop bien l’effet des coups sur mes fesses.
    
    Je m’étais promis de ne pas pleurer, pourtant au bout d’une vingtaine de coups, dix côté pile assénés par Hamid, dix côté face par Babacar, je sanglotais. Je sentais pourtant qu’ils se retenaient pour ne pas me massacrer, c’était égal, je n’étais pas habituée à une punition aussi dure, mon ventre et mes seins étaient plus sensibles à la douleur. Ils arrêtèrent sur ordre de monsieur Rodriguez, qui n’avait pas perdu une miette de ma correction. Ils me détachèrent rapidement, je frottai mes poignets meurtris en pleurant, tête baissée et épaules voûtées en attendant la suite.
    
    — Maintenant, habille-toi, ordonna le patron. Et n’oublie pas de remettre le plug. Puis tu vas travailler jusqu’à 16 heures 30 ; tu n’as rien fait ...
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