COLLECTION ZONE ROUGE. La Comtesse de Forchambeau (3/16)
Datte: 02/05/2019,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... plusieurs des péchés capitaux que notre curé m’a enseignés quand il venait en plus de confesses m’apprendre l’histoire du très haut et de son fils venu sur terre pour nous sauver.
« L’orgueil » non, je suis loin d’être orgueilleuse. »
« L’avarice » non, j’ai le cœur sur la main, c’est pour cela que les grondements contre les couronner me passent au-dessus de moi.
« La colère » un peu, mais contre moi, car je suis toute colère de refuser l’évidence, c’est par le Duc que j’aimerais devenir femme puisque la nature mon faîte ainsi, alors que j’aime être plus souvent habillé en tenue de cavalière, je devrais plutôt dire cavalier, j’aurais dû naître avec une bite.
« La paresse » non, j’aime me prélasser et mon éducation est orientée vers cette façon de vivre pour nous les élites de notre peuple, mais quand il faut bouger, je suis la première à foncer, il suffit de demander à Tyran.
« La gourmandise » au oui, mais est-ce un péché ?
Oui, certainement, quand je reprends du gâteau en cachette me faisant servir dans ma chambre et certainement comme mère quand elle avale le sperme de son amant avec délectation comme cette après-midi.
J’oublie volontairement notre curé, il est gonflé de gourmandise.
« L’envie » là, il a beaucoup à dire, car j’envie ce que mère ose faire avec le Duc, moi qui serais partante pour faire la même chose avec lui plus qu’avec son fils qui dans ma pensée est cocu comme père avant notre mariage.
« La luxure » que veut dire ce mot alors ...
... si je fais ou que je pratique la luxure, c’est à mon corps défendant, je crois que la vie va se charger de me faire comprendre ce péché dit capital. »
Donc, après analyse, je pense que mère doit avoir de l’amnésie devant le curé et comme elle m’a mise au monde, même si je suis aux antipodes de ses idées, je reste sagement à me caresser, ayant un bon alibi.
Je ressens un peu de plaisir et au repas du soir, je suis conforté par la manière dont elle se comporte fièrement « droite dans ses souliers » alors je resterais « droite dans mes bottes » et je garderais mes envies et fantasmes pour moi.
Dans les jours suivants, j’observe mère pour voir si elle a envie de retrouver son amant, le temps est contre eux, car il pleut, au repas ou les mots sont rares entre nous, elle émet le plaisir du soleil revenu pour proposer à père une promenade dans notre parc.
Je découvre ainsi, l'âme noire d’une femme qui prêche cette promenade sachant qu’il va la refuser, car il a un gros rhume et va aller se recoucher dès qu’il aura mangé, il lui donne sa bénédiction et propose que je l’accompagne.
Je refuse voyant le visage de mère s’illuminer, prétextant qu’il faut que je monte Tyran qui piaffe dans l’écurie étant enfermé depuis le début de cette pluie.
C’est ce que je fais et après un grand galop vers les chemins de la forêt, je l’attache à un buisson dans un pré d’herbe verdoyante plus loin de l’endroit où les amants vont se retrouver espérant comprendre ce que « enculer » veut ...