1. Cheat-Code (8)


    Datte: 02/05/2019, Catégories: Divers, Auteur: Clover, Source: Xstory

    ... arrière, plaqua ses mains contre mes cuisses. Poussa de toutes ses forces pour s’arracher à ma poigne.
    
    En panique, je lâchai prise. Elle manqua de basculer en arrière, retenue seulement par le battant de la porte dans son dos. Une main devant sa bouche, elle toussa. Un léger filet de bave s’écoulait sur son menton.
    
    — Merde ! jura-t-elle entre deux respirations saccadées. J’y arrive pas. Je ne peux pas.
    
    Chiotte. Le pouvoir de suggestion ne permettait pas d’outrepasser les limites physiques. Même convaincue de ses capacités à me faire une gorge profonde, si le corps ne suivait pas, le mental n’y pouvait rien. Il n’y avait bien que dans les scénarios de films porno qu’un tel acte se réussissait au premier coup.
    
    Presque pour se faire pardonner, Marie me reprit doucement dans sa bouche et m’avala à petits coup de gorge qui la cabrèrent de la nuque aux reins.
    
    « 3mn 40s ». Sa jauge gisait à 60%. Autant dire que la situation sentait sous les bras. C’est alors que mes yeux glissèrent sur la robe en tas au sol, et les propos de Mélissa me revinrent à l’esprit « ... à moins que tu préfères que je vienne mater ».
    
    Mais oui ! La solution était si évidente que je l’avais ratée. Je repoussai Marie par les épaules et lui prit la main pour l’aider à se relever.
    
    — Tu n’aimes plus ce que je te fais, dit-elle déçue.
    
    — Bien sûr que si, mais... tu vas voir, fais-moi confiance.
    
    Je poussai la porte de la chambre de Mélanie. Marie sur mes talons, je ne pris même pas le ...
    ... temps de détailler la petite pièce aussi surchargée que le bar du rez-de-chaussée. Je n’avais d’yeux que pour la large fenêtre qui l’inondait de la grisaille extérieure. Je l’ouvris en grand. Un souffle d’air frais me saisit, accompagné du brouhaha des passants et du vrombissement des voitures en contrebas. Les yeux fenêtrés d’un immeuble en brique nous toisaient de l’autre côté de la rue.
    
    Je déglutis. Autant être entendu ne me dérangeait pas, autant être vu m’angoissait. Mais le chrono ne patientait pas après mes états d’âme. Je saisi Marie par les épaules et la poussait de nouveau à mes pieds. Lorsqu’elle comprit ce que je comptais faire, c’est avec un gémissement de contentement qu’elle avala mon sexe. La jauge « Exhibe » affichait 78% en vert foncé, et sa jauge de plaisir atteignit aussitôt 70%.
    
    — Je suis sûr que tous les voisins peuvent voir à quel point tu es magnifique, dis-je, la bride serrée sur mes envies de vulgarité.
    
    Sans que je ne le lui demande, la belle brune se plaça de biais, une main caressant sa petite poitrine, les cuisses écartées pour offrir à la vue des fenêtres en surplomb la fente humide de son sexe. Risquée d’être vue lui plaisait, car elle se masturbait avec ardeur renouvelée. J’admirai sa dextérité. Du pouce, elle taquinait son clitoris, et de l’index et du majeur, pénétrait profondément son vagin. Bon sang. Elle assurait carrément le show. « Lecture de pensée. »
    
    « Ils doivent tous être en train de se toucher ces pervers à voir à quel point ...
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