1. Les 1001 perversions de Nathalie (13) Douze motards


    Datte: 27/02/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Egrewam, Source: Hds

    ... son fondement qu'elle laboure par saccades. Les moteurs des engins tournent toujours, la dizaine de bikers est pressée de l'enfiler, à la suite, comme une salope dépravée.
    
    La scène dure une demi-heure à peine. Douze membres se succèdent aux trois orifices, sous les cris, les hurlements de jouissance qu'elle glapit lorsque sa bouche n'est pas remplie par une queue ou déborde de foutre.
    
    Puis les braguettes des pantalons de cuir se reboutonnent, un à un les bikers apaisés enfourchent leurs engins et se rangent dans la cour, bien alignés.
    
    Le chef des motards s'offre une gâterie : il la met à quatre pattes dans la poussière et l'encule longuement devant tous les autres qui jubilent, appuyés sur leur guidon.
    
    Marc l'empoigne alors par les cheveux et la traîne jusqu'au portail. Épuisée, elle n'oppose aucune résistance lorsque qu'il l'attache à nouveau. C'est le moment de lui retirer son bandeau : elle peut ainsi contempler le tableau de sa soumission, et constater par qui elle a été pénétrée de toutes parts.
    
    Les moteurs pétaradent, elle voit disparaître ses baiseurs dans un nuage de poussière et de fumée.
    
    Nathalie retrouve peu à peu ses esprits, regagne sa condition normale. Du moins presque, car l'aspect qu'elle offre, fixée au portail, les bras en croix, les cheveux hirsutes, le corps couvert de sueur, de sperme, de sable et de cambouis, est plutôt celui d'une pouffiasse malpropre.
    
    Marc ...
    ... sort de sa poche le petit vibromasseur. Il se colle contre elle, glisse le vibro entre ses cuisses, contre son clito, et le met en marche. Elle pousse une plainte en se cambrant autant que le lui permettent ses liens.
    
    Marc prend sa bouche qui sent le sperme des bites qui l'ont remplie, il suce sa langue. Elle jouit encore en vagissant de plaisir. Elle frotte ses tétons bandés contre sa poitrine. Elle râle. Il sort sa queue. Il bande comme une bête en rut. Elle supplie, elle quémande la bite, mendie le mâle, dans son délire, elle le tutoie maintenant :
    
    - Pine-moi… Pine-moi tout de suite… Pine tous mes trous avec ta grosse bite !! Fais-le moi comme un porc que tu es !
    
    Il se colle entre ses cuisses, s'empale d'un seul coup dans son con et lui enfonce deux doigts dans le cul. Elle beugle :
    
    - Oui… Par le cul… Prends-le fort, mon gros cul !
    
    Il la détache et la retourne. Pris d'une excitation bestiale, il précipite sa queue au fond de son cul.
    
    Elle délire, les pointes de ses tétons sont bandées à mort et allongées, dures. Elle dégouline de partout. L'orgasme la foudroie, elle se tétanise, comme sous l’effet d’une décharge électrique :
    
    —Ouiiiiii… Vas-y, élargis-moi ! Fais-moi un cul de putain… Je t’en supplie, fais-le, oui, mon porc... Encule-moi fort ! Plus fort !!!
    
    Alors, il s’agite comme un déchaîné dans son trou et ils jouissent comme des bêtes, mêlant leurs cris et leurs plaintes. 
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