1. Les 1001 perversions de Nathalie (13) Douze motards


    Datte: 27/02/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Egrewam, Source: Hds

    ... l’anus, après l’avoir mouillé en lui faisant faire quelques allers-retours dans le sexe détrempé. Il l’enfile ensuite sans difficulté dans l’étroit canal. Léa pousse un cri aigu. Après, c'est au tour du gros gode d’entrer dans le vagin. La chatte parait pouvoir tout absorber.
    
    Elle supplie toujours Juan de la faire jouir. Il se réinstalle entre ses jambes puis lui lèche le clitoris. Elle se tord en tous sens, criant son plaisir avec une telle force que Nathalie en est effrayée. Elle n’imaginait pas que quelqu’un puisse jouir avec une telle violence.
    
    Quand Léa se tait, un silence pesant envahit la chambre. Après tant de démonstrations bruyantes, c’en est presque inquiétant. Juan, lui, doit avoir l’habitude, car il ne semble pas impressionné. Il retire avec précaution les deux godes du corps de Léa et la détache ensuite. Elle se laisse passivement retourner sur le ventre.
    
    Juan la prosterne en lui repliant les jambes sous elle. Ainsi, elle offre son cul sans défense. Il lui écarte les fesses et appuie le gland de sa grosse bite sur l’anus. Il ne lui faut qu’un coup de reins prolongé pour s’enfoncer, d’un mouvement lent mais continu, jusqu’à la racine dans le cul de Léa.
    
    Elle ne bouge pas, même lorsque Juan la défonce violemment de ses terribles coups de boutoir. Il jouit à son tour en poussant un cri puis retombe de tout son poids sur le dos de Léa.
    
    Nathalie en est à son deuxième orgasme. Elle se malaxe les nichons, les pressant comme si elle voulait en faire ...
    ... sortir du lait. Juan s'est retiré de Léa, la verge molle. Il se penche pour lui lécher l’anus alors qu’elle se laisse glisser sur le ventre, inerte.
    
    Nathalie comprend que c’est le moment de regagner sa chambre.
    
    Peu avant de s’endormir enfin, elle entend Léa râler très fort dans la chambre voisine. Elle vagit, cela ressemble aux cris d’un bébé. Nathalie recommence à mouiller et elle s'endort, la main entre les cuisses...
    
    *********
    
    Nathalie est installée sur la banquette arrière de la voiture. Un masque de velours noir lui cache leur destination. Ils filent depuis une demi-heure sur une route déserte. Où Marc la conduit-il ? Quel est le but de leur excursion ? La chaleur est enivrante. Après quelques virages, la voiture arrive devant un corps de ferme abandonné, s'arrête devant un portail de fer.
    
    Il coupe le moteur. Personne. La pleine lune se dégage tout à fait des nuages, et il fait presque aussi clair qu'en plein jour. Il n'a pas besoin d'utiliser la moindre lampe pour l'aider à sortir de la voiture.
    
    - Où sommes-nous ?
    
    - Ne posez pas de questions !
    
    - Je peux retirer mon bandeau ?
    
    - Vous plaisantez ?
    
    Il la guide, il pousse l'un des battants du portail et ils pénètrent dans la cour de la ferme abandonnée.
    
    Le second battant du portail est resté fermé : il la plaque contre, et en quelques secondes, elle s'y retrouve attachée, les bras en croix.
    
    Elle se tortille :
    
    - Qu'allez-vous me faire… Où sommes-nous ?
    
    - Cessez vos jérémiades inutiles… ...