Ambassadeur de France aux antipodes (3)
Datte: 30/04/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: sifeminin, Source: Xstory
... cheveux me recouvraient totalement le visage. Mon sexe était maintenant totalement tendu et il était bloqué entre les jambes de Caroline. Je ne doute pas une seconde qu’elle devait le sentir et encore moins qu’il bandait de désir. En même temps, de mon côté, je ne pouvais pas ignorer que l’entrejambe de la maman était vraiment bien mouillé, et que mon sexe était en train de s’en imprégner.
J’ai l’impression qu’elle faisait exprès de légèrement écarter les cuisses, pour qu’à chaque fois, mon sexe progresse un peu entre ses jambes. Même si mon sexe n’était pas en contact direct avec le sien, je sentais ses poils pubiens s’accrocher aux miens.
Je prenais un grand plaisir en frottant mes jambes contre les siennes, sa peau était douce, pour ne pas dire soyeuse. Maintenant, sans doute pour m’exciter encore un peu plus, Caroline soulevait ses fesses pour me branler un petit peu grâce aux hauts de ses cuisses. Il n’y a pas de doute, cela devait l’exciter aussi, car maintenant, sa cyprine était en train de couler en deux endroits, en l’occurrence sur la base de mon sexe, mais aussi sur le haut de ses cuisses, ce qui me mouillait complètement mon sexe. Elle dirigeait les opérations, je ne faisais que subir, mais elle était vraiment d’une grande douceur. Elle s’est légèrement penchée sur ma droite pour saisir mon sexe de sa main droite et commencer à se caresser le minou avec. Mon membre qui jusque-là, était légèrement humide de cyprine en était maintenant carrément trempé. À ...
... chaque fois qu’elle relevait ses fesses, elle soulevait les draps et quand elle redescendait, j’avais un appel d’air qui venait de nos entrejambes.
Je ne vous raconte pas les odeurs subtiles qui s’en dégageaient. La pointe de ses seins était vraiment érigée, cela me faisait tout drôle de les sentir rentrer en contact avec la pointe de mes tétons.
J’avais l’impression que la moustiquaire était un peu hermitique car l’air que nous respirons maintenant était fortement imprégné d’odeurs de minou. Ces fragrances intimes avaient un côté aphrodisiaque qui ne me laissait pas indifférent, mais surtout me donnaient une forte envie de la pénétrer.
— J’ai une énorme envie que tu me pénètres mais je me fais du bien avec la pointe de ton sexe, en me chatouillant le vagin et le clito.
Moi aussi je mourrais d’envie de me retrouver en elle mais elle me faisait énormément de bien en prenant mon sexe pour se caresser le corps. Maintenant, elle s’amusait à me mordiller les lèvres, sans chercher à me faire mal, mais juste sans doute pour montrer une complicité qui naissait entre nous. J’ai été surpris par le grand ventilateur, qui se trouvait au-dessus du lit, quand il s’est mis en marche. En effet, j’avais oublié qu’il était programmé pour fonctionner la nuit une heure sur deux. Du coup, bien que très peu bruyant pour sa taille, mais puissant, il couvrait le bruit du froissement des draps.
Ce qui était très agréable maintenant, et surtout pas superflu, c’est que je sentais la ...