1. Ambassadeur de France aux antipodes (3)


    Datte: 30/04/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    Salut, c’est votre folle de lycra.
    
    — Je vais t’avouer que toute la journée, cela sentait la mouille et le désir dans la voiture, savoir que mes filles te faisaient du bien m’a fait abondamment mouiller moi aussi.
    
    Pendant que Caroline me parlait, elle était venue se coller nue contre moi sous le drap. Bien évidemment, j’étais dans la même tenue et quand son corps tout chaud est venu se coller au mien, j’ai cru que j’allais en jouir de plaisir. Il n’y a pas à dire, Caroline avait un petit plus que ses filles n’avaient pas et qui me faisait craquer. J’assume parfaitement qu’elle ait l’âge de mes parents, en même temps, j’ai toujours eu un petit penchant pour mes aînées. Il serait malhonnête de ma part de ne pas reconnaître qu’il m’est arrivé à plusieurs reprises d’aller sentir les culottes de ma maman, mais surtout de ma tante, quand je m’en rendais chez elle. Il me semble même, avec le recul, que ma tante était au courant et qu’elle faisait en sorte à ce que j’ai toujours quelque chose de plaisant dans le bac à linge sale. Maintenant, Caroline était soudée à moi, je sentais la chaleur de son buisson ardent qui me réchauffait le haut de ma cuisse gauche.
    
    Maintenant, sa main gauche était en train de me caresser mon poitrail velu, chose dont j’étais assez fier, même si mes pectoraux, eux, n’étaient pas très développés. Sa tête était sur mon épaule et je sentais sa respiration chaude sur mon corps légèrement moite, Caroline avait besoin d’amour. Elle s’est servie de ses ...
    ... pieds pour légèrement remonter à ma hauteur, c’est ainsi qu’elle s’est mise à m’embrasser dans la nuit, et surtout le silence. Un instant, je me suis mis à repenser à son arrivée discrète, qui malgré le silence pesant, je n’avais pas entendue. Je n’arrivais pas à la cerner, car elle était à la fois timide, directive, gourmande, amoureuse et demandeuse. Bien qu’ayant des mains d’agricultrice, plus grandes et plus solides que les miennes, ces dernières étaient d’une douceur sans égal sur mon corps. Il n’y a pas de doute, la maman voulait me faire du bien en me caressant, peut-être même voulait-elle me mettre la chair de poule.
    
    L’obscurité était totale, cela aurait pu être une de ses filles, je ne la voyais pas, je sentais son nez en contact avec le mien, c’est comme si nous avions eu des yeux bandés. Même dans ses baisers Caroline respirait la sérénité, contrairement à ses filles, le baiser était partagé, elle ne s’imposait pas dans la bouche de l’autre.
    
    Quand j’ai découvert son haleine, il n’y avait pas de doute, elle s’était lavé les dents voilà peu, heureusement pour moi, par un plus grand des hasards, j’avais fait de même ce soir. Au fur et à mesure, elle évoluait sur moi sous les draps, elle était maintenant carrément allongée sur mon corps et mine de rien, elle faisait son poids. Il n’y avait plus que le bruit des draps qui bougeaient et un peu ma respiration, car je devais respirer un peu plus fort. J’avais l’impression de me sentir encore plus dans le noir, car ses ...
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