Evolutions (52) - Histoires de Sexe

Evolutions (52)

... miroir.

J’en conclus que j’ai agi exactement de la manière qu’elle voulait, mais lorsque je regarde son magnifique visage dans le reflet de la glace, je me rends compte qu’elle est tendue et qu’elle me fixe à présent de la même manière que Léa, lorsqu’elle s’attend à se faire disputer. Cela veut probablement dire que mon petit bout de femme, après m’avoir poussé à dépasser ma propre limite entre ce que je considère comme étant acceptable et ce qui ne l’est pas, a maintenant peur que ce soit moi qui me mette en colère, et que je lui reproche ce qui vient de se passer.

Ce qui serait vraiment un comble, étant donné que c’est moi qui lui ai fait mal. Alors pour lui faire croire que je suis tout à fait serein, alors que si j’ai hésité c’est parce que je ne savais pas de quelle manière elle allait réagir, je lui fais un sourire. Cela m’est d’autant plus facile, que Mathilde était également demandeuse pour ce genre de caresses, et que par conséquent ce n’était pas la première fois que j’en donnais une. Bien qu’elle rougisse, se sent que mon amante est soulagée, et alors que mon sourire devient moqueur, elle tente de dissimuler sa satisfaction sans vraiment y parvenir, tandis que je vais me mette à genoux derrière elle.

De manière à bien terminer ce que nous avons commencé, je pose mon gland contre sa rondelle qui est déjà entrouverte, je l’attrape ensuite par les hanches pour la tenir fermement, et je donne un grand coup de reins pour m’enfoncer en elle jusqu’à la garde. ...

... Cette fois ce n’est pas de douleur que je lui procure étant donné que je ne sens aucune résistance, mis à part le doux frottement de sa peau très tendre à cet endroit de son anatomie, contre mon membre tendu à l’extrême. Des jets de liquide chaud viennent aussitôt gicler sur mes bourses qui se sont allées se coller contre son vagin, tandis qu’elle pousse un véritable râle de jouissance, et que son anus est pris de contractions qui me semblent incontrôlables.

₪₪₪

Je laisse à Alice quelques instants de répit, pour qu’elle puisse se remettre de ses émotions, et une fois que l’orage est passé je commence à faire des allers et retours en elle. Le chemin étant ouvert, je ne tarde pas à la pilonner comme si j’avais le diable au corps. Elle se met elle aussi en mouvements pour m’accompagner, et nous finissons par swinguer d’une manière effrénée, sans que mon amante se soucie que ses fesses qui doivent être encore douloureuse, viennent heurter mon bassin. Cependant, cette danse infernale ne dure pas très longtemps, puisqu’au bout d’environ cinq minutes, mon petit bout de femme est emporté par un deuxième orgasme qui a l’air encore plus puissant que le premier.

Même si notre accouplement bestial a été court il n’en a pas moins été intense, et j’étais tellement excité avant même de commencer à sodomiser ma partenaire, que ses nouvelles contractions anales me font cette fois éjaculer dans son fondement. En même temps, elle pousse un long gémissement jouissif, avant de s’affaisser ...