Evolutions (52) - Histoires de Sexe

Evolutions (52)

... ferais mieux de te demander ce que tu as oublié de dire !

Elle réfléchit un court instant, avant de s’adresser à moi d’une façon nettement plus humble :

— Je me souviens du mot d’alerte, mon Amour.

Satisfait par son changement de comportement, qui me montre qu’à présent mon amante est complètement entrée dans le rôle de la femelle docile, je lui fais radouci :

— C’est beaucoup mieux ainsi, et fais en sorte qu’à l’avenir je n’aie pas à te rappeler à l’ordre, sinon je serai obligé de te peler la peau du cul jusqu’à ce que tu t’en souviennes.

— Oui mon Amour.

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Commence alors la correction proprement dite, et je mets à Alice une fessée dans les règles de l’art, en déplaçant ma main à chaque claque, pour que l’intégralité de son beau postérieur prenne une teinte rouge et unie. Je m’applique à espacer chacune de mes calottes avec une durée aléatoire, qui va d’une fraction de seconde à une demi-minute, de manière qu’elle ne sache pas quand la prochaine va arriver.

Je pousse même le vice jusqu’à caresser sa vulve de temps en temps, ce qui lui fait écarter les cuisses un peu plus, et je constate avec étonnement qu’être punie lui procure autant de plaisir que de douleur, puisque dès la première fois que je fouille son intimité, mes doigts en ressortent luisants de mouille.

Cela n’empêche pas ma suppliciée de pousser des petits cris lorsque je recommence à la fesser, ces derniers changeant d’intonation à partir du moment où elle se met à avoir mal, et ...

... j’essaie de ne pas m’attendrir lorsque je vois des larmes couler sur son magnifique visage. J’arrive à m’endurcir en me disant que c’est elle qui veut que je la traite de cette manière, et pas que mentalement puisque notre petit jeu m’excite moi aussi, au point que mon sexe que j’ai décalotté, est devenu aussi raide que la parodie de justice que je suis en train d’appliquer.

Il me semble que ma petite femelle résiste au mauvais traitement que je lui fais subir plus longtemps que la première fois, et je suis encore plus surpris, lorsqu’elle se cambre et qu’elle écarte un peu plus ses jambes, ce qui expose son sexe.

J’ai à ce moment-là une hésitation due au doute qui vient de s’emparer de moi, et qui est masquée par le temps à chaque fois différent qui s’écoule entre chaque claque. Puis, je me dis que si elle me présente son intimité de cette manière, c’est probablement pour que le la caresse d’une façon plus brutale que j’ai l’habitude de le faire. Alors j’abats ma main, mais pas trop fort, et au moment où elle entre en contact avec la peau douce et moite de sa vulve, mon amante pousse un « Ouch !!! », qui exprime très clairement ce qu’elle est en train de ressentir.

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Cette exclamation de douleur est aussitôt suivie du mot Tiramisu, et alors que je pense être allé trop loin et que je m’attends à des remontrances de sa part, Alice fait volte-face en évitant mon regard, et elle descend du lit en restant à quatre pattes, pour aller se mettre d’elle-même en face du ...