1. Annie, nympho et je ne me soigne pas. (7)


    Datte: 27/02/2018, Catégories: Hétéro Auteur: tomy83, Source: Xstory

    ... Jacques nous accueille chaleureusement.
    
    — tu as amené ta mère ?
    
    — Non, idiot, c’est une voisine, une très bonne amie. Elle est curieuse et veut visiter les studios. Il y a un tournage ?
    
    — C’est fini pour aujourd’hui. Tu as dû croiser les actrices.
    
    — Lesbienne ?
    
    — Bi, mais oui. Aujourd’hui c’était saphique. Elles m’ont tout fait. 69, ciseaux, godes et même un fist. Vous voulez voir.
    
    — Non, on n’est pas venu pour ça. On peut monter à l’étage ?
    
    — Tu aimes cet endroit, ma grosse salope. Allez, monte, je vous rejoins.
    
    On emprunte un escalier en bois, les marches craquent. Je pousse la porte et tous les souvenirs de mes tournages ressurgissent. Tout est comme avant. Un immense bureau en bois, sous et sur lequel j’ai souvent prise. Deux grands fauteuils et un canapé suranné complètent le tout. Le lustre est toujours là, il diffuse une lumière d’autrefois. Je pousse une seconde porte. Tout y est pour torturer des soumis, je passe sur cette période difficile pour moi. On sort de cette pièce. Hellène s’installe sur le fauteuil de direction. Jacques arrive en tenant une go-pro.
    
    — Vous ne voulez pas faire un bout d’essai ?
    
    — Non, une prochaine fois, promis, lui dis-je en l’embrassant et en lui tâtant la queue.
    
    Elle est courte, mais terriblement épaisse et il sait s’en servir. On s’en va et les questions fusent. Comment j’en suis arrivée à tourner, comment c’était, combien de films m’ont plu à tourner. Je reste silencieuse.
    
    Une fois en bas de notre ...
    ... immeuble, on se dit au revoir et on se souhaite une bonne nuit. On laisse Hellène prendre seule l’ascenseur.
    
    — Bonne nuit les coquins.
    
    Olivier me regarde, je me pends à son cou.
    
    — Je veux... Non je désire que tu me baises, là, maintenant. Soit inventif, ne me déçois pas.
    
    — Bien Madame, allons dehors.
    
    Il me fait mouiller ce petit con. Il m’emmène par un petit chemin en gravier vers un banc, caché à la vue de tous par un bosquet. Cela serait romantique s’il n’y avait pas ces canettes de bière et ses capotes traînantes de partout.
    
    Il me met debout, penchée sur le dossier. Il remonte ma robe sur mes reins et me prend en prenant les hanches. J’aime sa bite, je sens ses couilles taper sur mon clitoris.
    
    — Madame apprécie ?
    
    — Ta gueule et lime-moi... OUI, COMME CA.
    
    Il se démène en me claquant les fesses. Hum, j’aime sa grosse queue dans ma chatte. J’aime quand il me prend sauvagement. Je sais que je dois le dresser, mais là, c’est trop bon. Cela doit faire un quart d’heure qu’il me baise sans ménagement.
    
    — Prends mon cul, je te l’offre.
    
    — Merci Madame.
    
    Il se met accroupi et prépare mon œillet, délicate intention. Il me pénètre de sa langue, y insère des doigts, je ne saurais dire combien, trop occupée à ma jouissance. Il se relève et pose son gland à l’entrée. Je recule et le prends à fond.
    
    — Vas-y. Ramone-moi, ramone ta Maîtresse. Encule-la bien à fond.
    
    Il obéit, il M’obéit. Il remonte une de mes jambes sur le dossier du banc afin d’aller plus ...
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