Annie, nympho et je ne me soigne pas. (7)
Datte: 27/02/2018,
Catégories:
Hétéro
Auteur: tomy83, Source: Xstory
... passer sur leur arrivée, l’installation et tout le toutim. Enfin, j’ai ma moquette. Il me suffira de passer l’aspiro et le shampoing que l’on m’a donné).
Hellène déroule mon auvent. Superbe. Elle va même à y installer une toile coupe-vent prévue à cet effet que j’avais eu la flemme d’installer. Géniale, on se croirait dans un espace VIP. Elle enlève sa blouse. Elle est nue. Je me déshabille à mon tour. On s’installe à ma table.
— Jambes toujours ouvertes. Il faut que tu sois sa femelle dominante. On teste la moquette ?
Sans attendre ma réponse, elle s’allonge et m’invite à la rejoindre. Elle est jambes et bras écartés. Je la rejoins. Waouh, que c’est doux ! Elle bascule sur son côté, elle m’embrasse. On joue avec nos mains, nos jambes. Puis tout à coup, elle se relève.
— Je vais y aller, vous êtes beaux tous les deux. Je me revois quarante ans en arrière avec mon René. Hihihi. Restez seul, enfin tous les deux, et discutez des limites à mettre dans votre relation. Si tu as besoin de moi...
— Je le ferai, lui répondis-je avant de l’embrasser.
Ce baiser dure longtemps, on n’a même pas entendu Olivier renter. Il nous dit qu’il en a pour deux minutes, il faut qu’il chasse l’odeur de poubelles. Il regarde la moquette, il me regarde et s’en va la tête entre les mains.
— On mange dehors, vous avez dix minutes pour vous habiller, j’ai signé mon CDI.
Prise au dépourvu, Hellène n’ose pas refuser l’invitation. Je m’habille léger. Une robe d’été légère bleue, ...
... sans soutif et sans culotte. Je prends quand même un gilet, craignant la fraîcheur de la soirée.
On retrouve Hellène dans le hall. Elle a remis sa robe jaune et apparemment, sans rien dessous aussi. Quant à mon homme, il est habillé sobrement d’un short long et d’une chemisette hawaïenne. On part bras dessus-dessous, Olivier entre nous deux. Nos mains s’égarent vite sur nos fesses.
On arrive devant un resto banal de St Jean du Var. Il est petit, mais accueillant. La patronne nous accueille avec un large sourire et nous installe dans la cour intérieure, au fond du resto.
— Là, vous ne serez pas dérangé. Un apéro ? dit-elle en nous tendant les cartes.
Il y a un peu de tout, j’opte pour des côtes d’agneau cuites au feu de bois. Ils me suivent dans mon choix. Le repas est excellent et copieux, trop copieux. Repus, on ne prend pas de dessert, juste le petit digestif offert par la patronne.
On flâne dans les rues de Toulon. On emprunte des petits passages souterrains, des passerelles, sans vraiment savoir où l’on va.
— C’est pas le studio ?
— Si et ils sont en train de tourner.
Hellène regarde, intriguée la devanture de l’immeuble.
— On y va ? demande ma grenouille.
— Hellène, qu’en penses-tu ?
— Euh, oui. Pourquoi pas ?
Je sonne.
— Ouais, me répond la voix de Jacques.
— C’est Annie, je ne te dérange pas ?
Un "DOING-CLAC" nous dit que c’est ouvert. On fait comme l’autre fois et on croise deux très jeunes filles sortant du studio. On entre. ...