1. LA SOUMISSION... MOI J'ADHERE...


    Datte: 30/04/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... caméscope était sans doute posé sur un trépied.
    
    Les quatre fers en l’air sur le divan, elle s’enculait avec un vibromasseur. Elle n’avait plus rien d’une directrice. Avec ses yeux vitreux, son visage transfiguré par le plaisir. Ses gros seins semblaient avoir gonflé. Soudain, elle pivota sur elle-même. Exhibant son cul à l’objectif. La bague rose de son anus était tout boursoufflée autour de son joujou. Qu’elle fit coulisser à toute vitesse, entre ses fesses pleines et rebondies. Dessous, sa grosse chatte me fixait, comme pour m’appeler de la visiter. De longs filaments translucides coulaient sur le long de ses cuisses.
    
    Son jeu derrière l’écran amplifiait les palpitations qui agitaient de plus en plus mon sexe. M’autant par la même occasion toute vigilance. Dont celui de la présence de ma directrice dans la pièce. Mort de honte, mon premier réflexe fut de rattraper mon pantalon pour cacher mon sexe toujours bandé.
    
    - Reste comme tu es ! M’ordonna Françoise. Tu es très bien comme ça ! Je t’ai montré mon cul, ajouta-t-elle, en désignant du menton l’écran, s’est normal que tu le rendes l’appareil. Non ? Je me trompe ?
    
    Au point où j’en étais, pourquoi ne pas prendre ce flagrant délit comme prétexte pour me taper ma directrice. Reprenant mon sang froid, et après avoir pris une grande inspiration, je lui formulais un :
    
    - Oui, je veux bien. Cela ne me dérange pas à condition que la femme devant moi soit elle aussi dévêtue…
    
    - Si tu insistes…
    
    Elle remontait sa ...
    ... jupe. Une petite culotte en dentelle blanche, on ne peut plus transparente, attira mon regard.
    
    - Je me demandais jusqu’à maintenant, comment faire pour te convaincre de coucher avec moi. Je crois avoir trouvé la solution. Pas sans mal, crois-moi. J’ai fais fonctionné mes neurones.
    
    J’étouffais mes élans sauvages, pour ne pas lui sauter dessus, tant j’avais envie d’enfouir mon nez dans la foufoune, que je percevais copieusement poilue pourtant écrasé par sa lingerie. Préférant demeurer son esclave sexuel, soumis à ses exigences sexuelles. Et elle ne perdit de temps la coquine, écartant le devant de sa culotte sur le côté, exhibant son triangle de poils bruns.
    
    - Je trouve que j’ai un gros clito. Cela t’intéresse de savoir pourquoi ? Fit-elle, provocatrice, d’un envoûtant regard sexy.
    
    - Oui…
    
    Étant apte de tout écouter.
    
    - C’est parce que je suis une vilaine femme. Qui à défaut d’autre chose, se masturbe trop souvent… me lança-t-elle en lâchant l’élastique de sa culotte qui de nouveau, écrasa sa pilosité.
    
    - Je suis certaine, que t’aimerais voir comme je m’y prends…
    
    Non ! Tu ne dis rien ? Rétorqua-t-elle, me fixant avec malice.
    
    Elle se caressait à travers sa petite lingerie. Comme si elle cherchait de l’imprégner d’effluves de son désir.
    
    Je la contemplais, à la fois troublé, excité. Sur sa culotte une large tache d’humidité brillait. Incapable de me raisonner plus longtemps, je me plaçais à genoux devant elle. Faisant courir mes mains sur ses cuisses. Mon ...