1. LA SOUMISSION... MOI J'ADHERE...


    Datte: 30/04/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    L’appartement, se trouvait dans un ancien immeuble du centre. Que les bâtiments neufs de cette cité-dortoir enserraient de toutes parts. Je m’immobilisais sur le palier des troisièmes étages. L’édifice était parfaitement tranquille. Comme somnolent déjà, malgré l‘heure avancée de la matinée. La plupart des locataires devaient être soit au boulot, soit devant leur télévision.
    
    Je m’approchais de la porte où une étiquette indiquée le nom de famille de ma directrice. D’un coup d’œil, je jaugeais la serrure. Je tirais le trousseau de clé de ma poche. Je me saisis de la clef que Françoise m’avait désigné avant que je sorte de son bureau. Je la poussais dans la fente. Deux tours plus tard, je poussais doucement la porte et pénétrais le lieu. Le petit couloir baignait dans l’obscurité. À tâtant j’accrochais de mes doigts l’interrupteur, j’appuyais dessus et la lumière se fit. Je m’orientais comme elle m’avait indiqué jusqu’au salon et posais les dossiers sur la table. À cet instant un être normalement composé serait reparti, mais c’était sans compter sur ma curiosité, qui me poussa de m’aventurer dans le couloir. Il desservait deux pièces. La salle de bains et la chambre. Je poussais la porte de cette dernière. Les volets n’étaient pas tirer. Illuminant la pièce d’un éclairage naturel. La pièce était propre et ordonné. Le lit était fait. Mon regard se porta sur la chaise où une jupe, un corsage et des bas pendaient sur le dossier.
    
    Sur le bureau tout était correctement ordonné. ...
    ... Je fis les quelques pas qui m’éloigner du meuble. Je furetais à la recherche de quelque chose, sans savoir quoi. J’examinais les bouquins. Curieux de savoir ce qu’elle lisait. En dessous de la pile se tenait un album photos. Je pris l’initiative de le feuilleter. Il ne contenait très peu de photos. Une trentaine pour être précis. Toutes la représentaient. D’abord habillée très digne avec ses lunettes d’adolescente studieuse, puis de plus en plus dévêtue jusqu’aux dix dernières, où je la voyais à quatre pattes sur son lit, fesses écartées, offrant généreusement ses orifices à l’objectif.
    
    Je bandais dur. Tout de suite je fus submergé par une envie de foutre. J’ai pris un des deux bas, et plongeais mon nez. Là où le pied avait séjourné. M’’imprégnant de l’odeur qu’il dégageait. Un relent de cuir et de transpiration. Mais au lieu de m‘offusquer, l’odeur avait plutôt tendance à m’exciter. Je me branlais rageusement jusqu’au moment où des jets de sperme tiède jaillirent dans ma paume de ma main.
    
    Dans l’après midi, une réunion avait eut lieu. Hormis la douzaine de convié, il y avait Françoise, que je n’arrêtais d’épiée. Avec ses lunettes qui soulignait la finesse de ses traits. Ses cheveux blancs, raides, coupés au carré. Toujours bien coiffés.
    
    Comment une femme aussi sombre avait put s’exhiber devant l’objectif dans des positions aussi vulgaire. Qu’est-ce qui avait pu la pousser à réaliser cet égarement ?
    
    Au court des jours qui suivaient, tout était prétexte pour moi de ...
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