La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°963)
Datte: 27/02/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... certainement que je mettais beaucoup de temps à rapporter un petit déjeuner qui aurait dû être déjà prêt et qu’il n’y aurait eu qu’à mettre sur un plateau, le Maître descendit, passablement énervé.
- Eh bien que se passe- t- il ici ?
Sa voix était glaciale et me fit frémir. Immédiatement, je m’étais prosternée. Je n’osais pas répondre. Je ne voulais pas accuser la cuisinière de négligence, ni répéter ses paroles insolentes. Elle n’avait pas bougé, saisie de s’être faite surprendre en train de se chouchouter au lieu de travailler.
- soumise Zao ! Que fais- tu assise ? Pourquoi est-ce soumise Aphrodite MDE qui semble être en train de préparer le petit déjeuner, alors qu’à l’heure qu’il est, il devrait être prêt et tenu au chaud depuis longtemps ?
Zao (je connaissais enfin le nom de la cuisinière) ne répondait toujours pas.
- Bien, puisque c’est ainsi, tu seras sanctionnée plus tard, par moi d’abord, et je ne pense pas me tromper en pensant que Wangdak en rajoutera une couche quand il rentrera. Ma soumise, dépêche-toi d’aider cette chienne de bas étage à préparer mon repas et monte-le- moi rapidement. Quant à toi, tu as intérêt à avoir un comportement exemplaire, dit-Il en donnant un coup d’un martinet qui était posé sur une commode sur les jambes de la cuisinière, la faisant se lever. Un second coup sur les fesses cette fois-ci, la fit se ...
... mettre en position prosternée. Le Maître quitta la pièce, l’air plus que mécontent.
Zao mit du cœur à l’ouvrage et le petit-déjeuner fut rapidement prêt. Je m’empressais de remonter le plateau. Je trouvais le Maitre assit contre la tête de lit, un dossier ouvert devant Lui. Quand je m’approchais du lit, Il posa Son dossier sur la table de nuit et fit un signe de la main pour que je dépose le repas sur Ses jambes. Tandis qu’Il mangeait, je me mettais en position d’attente. Parfois, Il laissait tomber des morceaux de biscottes sur le tapis sur lequel je me trouvais, et que j’attrapais du bout de ma langue avec délices et reconnaissance. Quand Il eut fini, Il posa Son plateau sur la petite table, prit la badine qui s’y trouvait. Après m’avoir contournée, Il m’en appliqua une vingtaine de coups sur le cul pour le faire rougir avant de me baiser encore, mais cette fois bestialement comme une vulgaire chienne de rue en chaleur, sans avoir droit de jouir. Il déchargea rapidement au fond de ma caverne trempée. Il se releva, claqua des doigts pour que je Le nettoie. Puis Il me fit mettre à genoux en m’attrapant par les cheveux en tirant vers le haut. Dès qu’Il relâcha Sa prise, je baissais la tête.
- Ma chienne, je t’ai dit hier que tu aurais droit à une douche chaude aujourd’hui. Je vais te regarder la prendre, et ensuite tu devras me laver…
(A suivre…)