La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°963)
Datte: 27/02/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... prosternée, et alla dans la salle de bain. Il en revint nu, magnifiquement nu ! J’avais la tête au sol, mais tournée vers la pièce dont Il sortait. Mon bas-ventre réagit immédiatement. Ma vie ne tournait qu’autour de Lui, je ne vivais que pour Le satisfaire. Sa verge était déjà dressée et pointait fièrement vers le plafond. Sans un mot, Il s’approcha de moi, qui ne bougeait pas d’un cil, me contourna et se plaça derrière moi. Après une caresse sur toute la longueur de ma colonne vertébrale, qui me fit frissonner l’échine dorsale, Il présenta Son sexe à l’entrée de ma caverne déjà humide, et s’enfonça d’un coup sec et précis. J’expirai fortement, comme si j’avais attendu ce moment toute la journée. Il me besogna de très longues minutes, se ménageant, se maîtrisant pour retarder au maximum Son éjaculation. De mon côté, je contrôlais de mon mieux ma respiration pour ne pas jouir, n’en ayant pas reçu l’autorisation. Mais j’étais tellement excitée, trempée, si heureuse en pensant que j’allais passer de divines heures en Sa compagnie, que j’avais du mal à ne pas me laisser envahir par les vagues de plaisir successives qui essayaient de briser ma volonté. Après de nombreux coups de reins vigoureux, Il finit par décharger au fond de ma chatte tout en lâchant des gémissements et râles jouissif et en me claquant les fesses avec forces…
Il se releva et claqua de nouveau des doigts. Je passais donc à quatre pattes, fis un demi-tour sur moi-même et me mis à genoux, face à Lui, tête ...
... baissée. Il me releva la tête, et immédiatement, sachant ce qu’Il attendait de moi, j’ouvris la bouche. Il y fourra Sa queue et je la nettoyais méticuleusement, recueillant avec délice le mélange du Divin nectar du Maître et de ma cyprine de chienne en chaleur. Malgré Son éjaculation, Son sexe gardait une belle vigueur. Il m’ordonna de monter sur le lit. Je passais la moitié de la nuit dans ce lit à satisfaire le Maître. Il me posséda par tous les trous, parfois attachée, parfois bondagée. Quand Son sexe avait besoin de repos, car malgré tout Il restait un être humain, c’était avec des sexes factices qu’Il me pénétrait. Ce fut sur Sa dernière enculade, qu’Il m’autorisa à jouir. Pendant qu’Il investissait mon fondement, Il avait mis en action un œuf vibrant dans ma chatte. Et après ces quelques heures à jouer le funambule sur le fil du plaisir, quand j’en eus le droit, j’eus un des orgasmes les plus fulgurants de ma vie, tellement fort que ça en expulsa l’œuf, sous les contractions incontrôlables qu’il me provoqua. Et l’autre moitié de la nuit commença, dans Ses bras, la tête au creux de Son épaule, et je m’y endormis, comme la petite chienne la plus heureuse du monde…
Le lendemain matin, je me réveillais avant Lui. Je descendis du lit et me mettais en position d’attente par terre. Quand je L’entendis bouger annonçant Son début d’éveil, mon cœur commença à battre plus fort. Je me réjouissais déjà de savoir que j’allais passer la journée avec Lui. Et j’étais impatiente de ...