1. L'inceste est une affaire de famille (1)


    Datte: 27/04/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Gnox100, Source: Xstory

    ... et mon frère. Je reconnais toutefois que la poutre de mon père ne semble pas tendre avec elle, écartant ses lèvres vaginales avec une force démesurée. Il crie lui aussi, mais des obscénités. Je suis choquée d’entendre les mots "pute", "salope" et "gros cul" sortirent de la bouche de mon géniteur. Malgré tout, il l’aime et le prouve en ce moment-même. Il couche avec d’autres femmes, et nous le savons tous, mais je ne crois pas qu’il en aime une plus que ma mère, d’où la tolérance de celle-ci envers ses infidélités. A la fin de ce spectacle grandiose, il éjacule abondamment dans son vagin et se retire en toute simplicité.
    
    Étonnement, à peine s’est-elle remise de ses émotions, que ma mère décide de quitter la chambre. Je me cache alors sous un porte-manteau, priant pour que l’obscurité de la nuit me camoufle. Elle passe à côté de moi sans me voir, et se dirige vers la salle de bain où elle s’enferme. Quant à mon père, il est allongé sur son lit, le pénis encore fièrement dressé et dégoulinant de sperme et de sueur. Cette vision m’excite au plus haut point, réveillant ma libido. Dans un accès de folie, je me surprends à entrer dans la chambre parentale et à prendre place aux côtés de mon père. Les yeux fermés, il ne remarque pas ma présence, ou du moins soupçonne qu’il s’agit de ma mère. Mon regard s’attarde alors sur sa bite, qui a gardé toute sa vigueur malgré l’éjaculation. Maniaque que je suis, je meurs d’envie de la nettoyer de cette semence qui m’est interdite. Sans ...
    ... trop y réfléchir, je pose mes lèvres sur son gland.
    
    Sentant probablement qu’il ne s’agit pas des lèvres de sa femme, mon père ouvre les yeux et se redresse soudainement. Son regard apeuré croise le mien. Il me demande ce que je fais là, mais je ne lui réponds pas. Je suis comme... hypnotisée. Je ne pense plus qu’à une chose : sucer son pénis. De son côté, sa peur s’estompe et bientôt, son regard se déporte sur ma poitrine. Car oui, je ne l’ai pas précisé, mais je suis nue, comme tous les soirs. Il contemple mon corps juvénile, le même que celui de sa femme, les rides en moins. Je le sens hésitant, incapable de prendre une décision. C’est donc moi qui prends l’initiative de notre rapprochement, en posant ses mains sur ma poitrine. Ses doigts enveloppent mes seins, les malaxent avec tendresse. Je vois dans sa pupille l’émerveillement, il redécouvre la fermeté mammaire que ma mère a depuis bien longtemps perdu. Il ne les quitte pas des yeux, salive devant eux. Il y plonge sa tête, tel un nouveau-né teintant sa génitrice pour la première fois.
    
    Ironique n’est-ce pas ?
    
    Au bout de quelques minutes, j’entreprends de l’allonger sur le lit conjugal. J’ai un projet bien précis en tête : le chevaucher. Prenant place au-dessus de lui, je m’empale lentement mais sûrement sur son pénis toujours aussi ferme. J’ai l’étrange impression qu’on me déchire les entrailles, mais ce n’est pas douloureux, bien au contraire. Un immense plaisir m’envahit, parcourt mon corps à toute vitesse. Aucun ...