1. L'inceste est une affaire de famille (1)


    Datte: 27/04/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Gnox100, Source: Xstory

    Je m’appelle Anna. J’ai 22 ans, je suis une métisse aux cheveux longs et j’ai une paire de seins assez volumineuse.
    
    Mes relations familiales sont des plus compliquées. Mes parents par exemple n’ont jamais été du genre pudiques, et ceci quel que soit mon âge. Je les ai souvent vu nus, et les ai même souvent entendus copuler, les murs de la maison n’étant pas très épais. Mon père, plus foncé de peau que moi, est le cliché de l’antillais dragueur et infidèle. Ma mère quant à elle, est plus sage et douce que lui. Elle supporte les écarts de son mari pour ne pas briser notre famille.
    
    C’est avec mon frère jumeau Thibaut que j’ai la relation la plus immorale. Plus jeunes, nous dormions souvent nus dans le même lit, et ceci sans aucune gêne, conséquence de notre éducation impudique. Cette proximité se mua au fil des années en tension sexuelle, qui donna lieu quatre ans plus tôt à un premier rapport sexuel incestueux. Je m’en souviens encore. Mon frère s’était collé à moi au cours de la nuit, et j’avais pu sentir son pénis se frotter à mes fesses. Les érections nocturnes étant fréquentes chez les hommes, je ne m’étais pas alarmée. Mais peu à peu, je sentis que ces frottements s’intensifiaient, et je compris alors que mon frère était non seulement réveillé, mais également en pleine tentative de pénétration ! Je me décidais à le laisser faire, le grotesque de la situation m’ayant beaucoup excitée. Il ne fallut pas longtemps à Thibaut pour me pénétrer franchement, et effectuer des ...
    ... va-et-vient à l’intérieur de moi. Nous ne poussions que de petits gémissements, afin de ne pas réveiller nos parents.
    
    Cette première fois dura une bonne demi-heure, au terme de laquelle mon frère se retira et éjacula sur mes jambes. Il ne portait pas de préservatif, c’était donc la décision la plus intelligente.
    
    Nous ne l’avons jamais regretté, bien que nous ne prîmes pas la peine d’en informer nos parents. Aujourd’hui encore, nos rapports sont plutôt fréquents, mais nous privilégions la fellation, plus discrète et rapide. La taille de son engin, c’est-à-dire une vingtaine de centimètres, m’a toujours fasciné. Elle me rappelle à bien des égards celle de notre père, que j’ai souvent vu sans y porter attention. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Je me surprends parfois à rêver du chibre paternel, allant même jusqu’à imaginer que c’est lui qui me pénètre lorsque je me masturbe. J’y pense tant qu’un soir, j’ai dû changer mes draps au beau milieu de la nuit tant je les avais mouillés. C’est lors de cette virée nocturne que je surpris à nouveau mes parents en plein accouplement.
    
    Ma mère, dont les seins sont au moins de taille égale aux miens, est assise à quatre pattes sur le lit conjugal, encaissant sans vergogne les coups de reins que lui inflige mon père. Ils suent tous deux beaucoup, preuve de la passion qui les anime. Ma génitrice est de ces femmes qui crient fort, au risque de réveiller le voisinage. Elle est incapable de retenir ses gémissements, au contraire de moi ...
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