Gwladys et les permissionnaires (1)
Datte: 27/04/2019,
Catégories:
Trash,
Auteur: Miel sauvage, Source: Xstory
... émotion.
Décontenancé, le jeune soldat guette l’approbation de ses camarades. Les yeux fixés sur le sous-vêtement de la fille, les deux comparses manifestent un début d’érection dans leurs pantalons d’uniforme.
L’air détaché, la fille laisse son voisin lui peloter la poitrine. Désireux de voir les globes sans entrave, il déboutonne la robe jusqu’à la ceinture et remonte la partie inférieure pour mieux dégager la culotte. À l’exception de sa robe roulée à la taille, la jeune femme ne porte plus que ses dessous. La culotte blanche et le soutien-gorge assortis soulignent la peau mate. Les bas mettent en valeur les jambes fines et fermes. Les mollets musclés trahissent la pratique régulière d’un sport, tout comme le reste du corps à la silhouette élégante.
Une main tente de dégrafer le soutien-lolos et se retire sous la cuisson d’une nouvelle claque. L’importun l’embrasse sur la joue sans susciter de réaction. Il récidive plusieurs fois, goûte la saveur légèrement piquante de sa peau, en apprécie la douceur, jusqu’au contact de la pommette sous sa bouche gourmande.
Dans un sursaut d’audace, il empoigne la mâchoire et tourne la tête de la fille vers la sienne. Ses lèvres effleurent la bouche pulpeuse quand elle le repousse d’une nouvelle gifle appliquée en plein visage.
Deux garçons lui retirent ses bas nylon. Les jambes dénudées sont caressées, les cuisses pincées et les mollets cajolés avec insistance. Sur la banquette d’en face, les deux passagers la saisissent ...
... chacun par une cheville et lui écartent les gambettes davantage. Une ombre fugace pointe au milieu de la culotte, signe d’une pilosité drue. Une dizaine de paires d’yeux rêve de débroussaillage.
Si le contact des chevilles reste agréable, les pieds proches du nez des deux garçons exercent leur tentation. À leur apparence plaisante s’ajoute une odeur qu’ils hument avec délice. Ils embrassent les plantes de pieds encore moites de leur séjour dans les bas nylon, passent leurs langues sur la peau veloutée, les introduisent entre les orteils, recueillent quelques fragments de matière.
Plus haut, des mains dégrafent le soutien-gorge, empoignent les gros seins en poire, malaxent et pétrissent les pendards. Avec célérité, les soldats saisissent les poignets de la fille, lui interdisent toute velléité défensive. Des bouches avides cerclent les larges auréoles foncées, ventousent les tétons granuleux et entament une tétée gourmande accompagnée de bruits de succion qui s’ajoutent à ceux du pompage des pieds.
Encouragés, un des comparses passe ses mains dans la culotte, constate la présence d’une zone ombragée humide. D’un commun accord, tout le monde décide d’une exploration approfondie. Une paire de mains introduite dans le sous-vêtement écarte l’élastique et le fait glisser sur les adorables cuisses.
Une frisouille drue et bouclée apparaît, saluée par des commentaires graveleux et des exclamations enthousiastes. Après les félicitations à la demoiselle pour l’entretien de ...